jeudi 29 octobre 2015

LA PHILOSOPHIE: QU'EST-CE QUE C'EST ET COMMENT ARRIVER A UNE OU PLUSIEURS REPONSES ACCEPTABLES

                                      ENQUETE ET QUESTION SUR LA PHILOSOPHIE                  

                                                          PREMIERE PARTIE:
 QUESTCE QUE CEST LA PHILOSOPHIE ET COMMENT ARRIVER A UNE DEFINITION UNIVERSELLE OU A DES INDICATIONS SIGNIFICATIVES PERMETTANT DE NE PAS LA CONFONDRE AVEC CE QU'ELLE N'EST PAS EN LUI DONNANT DES ATTRIBUTS CONSTITUTIFS OU FONCTIONNELS QUI NE LUI SONT PAS PROPRES
                                                            CHAPITRE I
QU'EST CE QUE C'EST UNE DEFINITION ET QU'EST-CE QUI DANS L'EXISTENCE D'UNE CHOSE PERMET DE LA DEFINIR ET A QUOI SERT UNE DEFINITION NECESSITE ACCIDENT ESSENCE NATURE ACCIDENT CONTINGENCE HASARD
                                                           CHAPITRE
DES INDICATIONS QUI PEUVENT SE CONTENIR DANS UNE DEFINITION
LA NATION DE CAUSE DE RAISON D'ETRE DE CONDITION NECESSAIRE ET SUFFISANTES DEFINITION PAR CAUSE MATERIELLE CAUSE FORMELLE CAUSE EFFICIENTE OU MOTRICE
                                                            CHAPITRE

LA RECHERCHE DES ORIGINES UN MOYEN POUR ARRIVER A UNE DEFINITION OU A UNE COMPREHENSION DE L'EXISTENCE ET CE QUE PEUT SIGNIFIER LE MOT ORIGINE ET DES DIVERSES ORIGINES ORIGINE COMME CE QUI PRODUIT ET DONC CAUSE MATERIELLE COMPOSITION CE QUI PRODUIT COMME RESULTAT OU BUT OU FINALITE POURSUIVIS ET ATTENDUE ET ETUDE DES CONDITIONS DU CONTEXTE DES CARACTERISTIQUES DU MILIEU DE FORMATION DE LA CHOSE EN SUPPOSANT QUE TOUT CE QUI EST PRODUIT DANS L'EXISTENCE PAR LA NATURE OU PAR L'HOMME EST PRODUIT POUR ENTRER DANS LA PRODUCTION DE QUELQUE CHOSE D'AUTRE OU CONTRIBUE A ATTEINDRE QUELQUE CHOSE QUI N'EXISTE PAS ENCORE

                                                                 CHAPITRE
DE LA CONNAISSANCE DES MANIERES DE CONNAITRE DES SAVOIRS CONSTITUES AVANT LA PHILOSOPHIE AVEC LE MYTHE LA RELIGION LA MAGIE LES SOPHISTES ET LE DISCOURS POLITIQUE OU POETIQUE DE LEURS ORIGINES DE LEUR FORME DE LEUR VALEURS THEORIQUES ET PAR RAPPORT A LA REALITE SUR LAQUELLE ILS S'APPLIQUE ET DE CE QUI FERAIT DEFAUT A CES CONNAISSANCE FRAGMENTAIRES ISOLEES CONNAISSANCE DU PARTICULIER DE L'ACCIDENTEL DE LA CONSEQUENCE ET NON DE LA CAUSE GENERALE PROBLEME DE GENERALISATION ETRE COMMENT CORRIGER REJETER NIER OU RELATIVISER CE QUI EST DEJA CONSTITUE DE LA RAISON ET DES DETENTEURS DU SAVOIRS AVANT LA PHILOSOPHIE ET DE LA SOURCE DU SAVOIR AVANT L'AFFIRMATION DE LA RAISON HUMAINE COMME MOYEN POUR ARRIVER L'OEUVRE DE LA RAISON DANS LA NATURE ET PARMI LES HOMMES





  DES ORIGINES DE LA PHILOSOPHIE
                                                            POUR
COMPRENDRE CE QU'ELLE EST SA MISSION SON CHEMIN SON MOYEN DE LOCOMOTION ET SA MANIERE DE MARCHER POUR ARRIVER OU POUR SE RAPPROCHER DE SA FIN THEORIQUE ET PRATIQUE CE QUI FAIT SA SPECIFICITE COMPARATIVEMENT AUX AUTRES ACTIVITES HUMAINES INTELLECTUELLES ET PRATIQUES QUI CHERCHENT A CONDUIRE LES HOMMES VERS LES VRAIES MESURES DES CHOSES EN ELLES MEMES OU DANS LEUR INTIMITE OU LES VERITE QU'ELLES CONTIENNENT ET CELLES QUI LEUR DONNENT NAISSANCE POUR COMPRENDRE SES RAPPORTS THEORIQUES ET PRATIQUES AVEC LA REALITE A EXPLIQUER OU A COMPRENDRE ET A TRANSFORMER OU A LAQUELLE IL FAUT S'ADAPTER EN SE MODIFANT SOI-MEME DANS SA MANIERE DE PENSER ET DE VIVRE....
 PLAN


I. Du besoin de savoir, de connaître la vérité comme besoin fondamental qui sépare l'existence humaine de l'existence animale et de l'universalité de l'éducation, de l'enseignement et de l'école dans les sociétés anciennes et modernes et de la nécessité de la vérité comme guide, comme fondement de la pensée et de l'action personnelle et de l'action sociale. Jean Ulmo " La notion de vérité est au fondement de la vie personnelle et de la vie sociale de l'homme" Aucun animal ne se demande ce qu'il doit faire dans les situation au sein desquels il se retrouve dans le monde. Aucun animal n'invente de solution qui lui serait exclusive pour répondre aux problèmes de son existence. L'animal sait tout ce qu'il doit savoir et sait faire tout ce qui lui est nécessaire pour survivre.

II. Tous les enseignants de tous les niveaux et dans toutes les institutions parlant du monde et de l'homme dans leur composition, dans leur origines, dans leurs propriétés naturelles ou dans leurs caractères acquis, son fixés sur une même colonne vertébrale et appartiennent à une même famille, à une même classe, à un même ensemble que l'on appelle Ensemble des connaissances, des savoirs, des savoirs faire et des savoir être. Chaque enseignants qui officie dans la rue ou à huis clos dans une institution est porteur d'un saveur, d'une vérité, d'une mesure qui permettrait d'expliquer ou de comprendre ou d'agir sur la totalité du réel ou sur une portion du réel, ou alors prétend être porteur d'un certain savoir.




III. Il y a donc plusieurs savoirs parce qu'à l'école, il y a plusieurs enseignants, plusieurs instituteurs au sens primitif du mot qui désigne l'activité d'une femme ou d'un homme dont la  fonction principale est de transmettre un savoir, une vérité ou une contre vérité, une mesure, une loi, une règle pour diriger la pensée ou l'action individuelle ou l'action sociale collective, ou dont la fonction est de penser et d'agir ou d'apprendre à penser ou agir en vertu d'une certaine norme ou vérité ou pour arriver à une certaine vérité dont on suppose quelque importance individuelle ou collective.
III; Chaque élève peut constater que les enseignements du professeur de mathématiques ne sont pas ceux du professeur de biologie ou de sciences physiques, comme les séances d'éducation physique et sportive ne sont pas ceux des cours d'éducation artistiques ou de construction mécanique





IV. Comment arriver à établir des différences significatives et des dénominateurs communs entre les différents savoirs ou connaissances qui sont déjà constitués parmi les hommes? Quelles peuvent être les origines des savoirs, des vérités, des mesures, des valeurs que les hommes donnent aux choses et aux êtres vivants ou non vivants, naturels ou artificiels qui composent l'existence? Quels sont les moyens utilisés? Quels sont les choses et les êtres qui peuvent être connus, dont on peut connaître les mesures naturelles ou les mesures qu'ils doivent avoir s'ils sont créés par l'homme? Quelles méthodes ou démarches les hommes mettent-ils en œuvre pour découvrir ou pour construire les vérités ou les mesures qu'ils donnent aux choses et aux êtres vivants sensibles et intelligents? Les vérités que les hommes déclarent ou nient dans les divers domaines supposés contenir des réalités mesurables sont- elles des vérités matérielles, des vérités de fait, des vérités historiques, des vérités empiriques, des vérités issues de l'expériences et expérimentables ou applicables au réel ou plutôt des vérités formelles c'est-à-dire logiques qui se constituent par une certaines cohérence? Toutes les vérités sont- elles des vérités objectives ou des vérités subjectives, des vérités universelles, générales ou particulières, des vérités qui sont partout et toujours valables ou des vérités qui sont propres à un temps et à une époque ou à des choses ou à des êtres vivants particuliers dans une classe déterminée que pour expliquer, des vérités une fois et définitivement établies ou des vérités partielles qui peuvent être améliorée, étendue ou réfutées? Tous les savoirs, toutes les formes de connaissances sont-ils constitués dans la matrice de la rationalité et contiennent-ils le même degré de rationalité?Toutes les connaissances, tous les savoirs peuvent-ils être enseignés à tout le monde?Tous les vérités des savoirs ont -elles le même pouvoir et la même efficacité théorique ou pratiques pour comprendre ou pour transformer la réalité naturelle et sociale en s'y appliquant? Les vérités que les hommes déclarent. Toutes les activités théoriques ou pratiques qui cherchent à comprendre le réel ou à l'expliquer visent-elles la même finalité, le même but? Tous ceux qui savent ou qui cherchent à savoir et qui appliquent leurs savoirs, sont-ils tous obligés ou choisissent-ils tous de se conduire selon les vérités qu'ils ont découvertes dans la nature ou dans la culture ou de se conduire d'une certaine manière pour arriver à leur fin ou plus clairement le physicien et le philosophe sont-ils obligé de vivre selon les lois de la nature, les lois humaines et sociales qu'ils ont trouvée déjà posées ou qu'ils ont découvert eux-mêmes? Y'aurait-ils des savoirs ou des connaissances ou des formes de connaissances plus anciennes que d'autres, des vérités plus anciennes que d'autres et plus vastes et qui les contiennent et leur donnent naissance ou qui leur sont nécessaire pour voir le jour et cette étendue dans le temps ou dans les propriétés des choses et des êtres permettrait-elle de faire une hiérarchie des connaissance, une généalogie des formes de la connaissance et des vérités?




V Des caractéristiques générales de la philosophie pour la rapprocher de ce qu'elle est ou devrait être ou de ce qu'elle n'est, ne devrait pas être ou ne sera jamais et n'a jamais été dans son histoire selon son étymologie, selon les activités de ses fondateurs et de ceux qui la pratiquent encore aujourd'hui, selon la manière de vivre des philosophes, et étant entendu qu'en philosophie il est question de connaissance, de savoir, de vérité dans la théorie ou dans la pratique puisqu'il est question de sagesse et la sagesse est inséparable du savoir,  selon les critères ci-dessus (III) permettant de faire l'analyse d'un système de production de mesures, de savoirs, de connaissances et de vérités théoriques ou pratiques?
Caractéristiques à rechercher dans ses origines
1. Ce que peut signifier le mot origine
2. L'origine du mot
3. De l'origine comme lieu de naissance, temps de naissance
4. De l'origine comme conditions nécessaires et suffisantes, raison d'être nécessaire et suffisantes, comme contexte, et des facteurs favorisant, de l'origine comme la cause qui produit, comme la source, la matrice visible ou invisible de laquelle jaillit vers l'extérieur ce qui arrive dans l'existence ET donc rechercher caractéristiques dans les conditions d'existence dans les cités où apparut la philosophie, ce que les hommes ou quelques hommes ressentait comme déficit théorique ou pratique devant et pouvant être comblé par la pensée ou par l'action ( besoin d'un certain savoir, besoin d'une certaine explication, besoin d'un savoir rationnellement constitué et tenant cette rationalité ou son efficacité dans la méthode qui lui donne naissance et dans les moyens de production), enquêter sur la manière de vivre des philosophes, leur relations avec leur monde physique, historique et actuel avec leurs semblables, des conditions de la vie intellectuelle sociale et politique avant la naissance de la philosophie et l'affirmation de la reconnaissance de la RAISON et d'une certaine manière de l'utiliser, de la faire travailler, de la suivre, comme déesse qui conduit tout homme vers quelque vérité partielle ou absolue du monde. Analyser les conséquences qui peuvent résulter et qui sont attendues ou non l'exercice de la philosophie, une éducation de la raison, la constitution d'un savoir profane à la portée de tous les hommes étant entendu qu'ils sont tous des êtres dotés de raison, constitution d'un monde sans Dieu, mais d'un Cosmos organisé et dirigé par une RAISON UNIVERSELLE dont une partie se trouverait dans toutes choses sous des formes et des quantité et des qualité et des performances différentes, le culte de l'individualisme, de la responsabilité de ses propos. Une manière de vivre conforme avec l'ordre du monde. La philosophie ou lorsque les dieux et les puissances surnaturelles de l'univers établies dans chaque chose et dans chaque être vivant selon les penseurs mythiques, par la Raison en tout homme et en toute chose.

1. Rechercher dans les conditions politiques, sociales, économiques, sociales et culturelles de sa formation et de sa  naissance
2. Dans le

mardi 27 octobre 2015

PROGRAMME PHILOSOPHIE TERMINALE AU SENEGAL





PREMIERE PARTIE: LA REFLEXION PHILOSOPHIQUE
I. Origines et spécificité de la réflexion philosophique
II; Les grandes interrogations philosophiques métaphysiques et anthropologiques
III. Enjeux et perspectives de la philosophie





DEUXIEME PARTIE: LA VIE SOCIALE
I. Individu et société
II; Nature et culture
III. Conscience et Inconscient
IV. La liberté
V. L'Etat



TROISIEME PARTIE: EPISTEMOLOGIE ou PHILOSOPHIE DES SCIENCES
I. Emergence de l'esprit et de la pensée scientifique
II. Des  différents types de sciences
III. Science et technique



QUATRIEME PARTIE: ESTHETIQUE ou REFLEXION PHILOSOPHIQUE SUR L'ART
I. La représentation artistique
II. Des formes et des fonctions de l'art


dimanche 11 octobre 2015

Existence et promesse


 Selon Le Larousse et certaines  indications venant des sources latines du mot exister veut dire être présent dans quelque chose, sortir de quelque chose en s'extériorisation d'un coup ou de manière progresse, se stabiliser, etc. Or être présent c'est occuper une place dans un contenant; ce qui veut dire que ce qui existe est soi un contenant soit un contenu de manière permanente ou selon les situations et les rapports dans un réseau. Cela veut dire que rien n'est seul ou isolé si ce n'est l'existant qui sa son contenant et son contenu intégralement approprié... Etre présent aussi c'est répondre à un appel et que donc être présent aussi c'est avoir le pouvoir d'émettre un appel. En conséquence, exister c'est être dans un champ relationnel et communiquer ou échanger, donner ou recevoir volontairement ou involontairement dans un champ d'interaction. En donnant et en recevant l'existant gagne et peut perdre et ce qui peut donner. Exister c'est donc pouvoir...




L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et... de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? Qu'Est-ce que notre école promet à ces humains dont elle poursuit la formation selon la nature ou contre la nature et contre sa volonté? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?
Existences, promesses et mondes dans la nature et dans l'histoire parmi les hommes

L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde  possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a  rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?


L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d(entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre ce qui est promis au corps ou à l'esprit, à moi ou à autrui  la possibilité théorique de la réalité de cette promesse et de la possibilité historique de l'atteindre individuellement ou collectivement, de réduire l'écart qui sépare d'elle en s'en rapprochant de lus en plus et le maximum possible et souhaité pour s'en approprier et par la suite d'être heureux et libre ou au moins en paix intérieurement. le lus visible le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais



L'existence est un mouvement individuel et général de choses et d'êtres vivants ayant chacun un certain pouvoir et chaque chose et chaque être vivant encore non satisfait ou libre ou pleinement libre poursuit une certaine promesse lui ayant dit que toute chose et toute être est né dans la nature et parmi les hommes pour atteindre une certaine promesse qu'il s'et fait lui-même à lui-même ou qu'il a fait à un autre existant dans le même état ou dans un état différent

La différence fondamentale entre l'homme et l'animal dans le même monde mais dans des régions différentes au sein de cet espace de rencontre, c'est qu'aucun animal ne sait promettre, ni à lui-même ni à un autre ni à son monde parce qu'à aucun animal, il n'est rien promis, tout lui a été donné par l'esprit de Dieu et par les composantes naturelles des choses et des êtres et des évènements, des activités ou des actions théoriques ou pratiques que l'esprit de Dieu peut promettre d'entreprendre ou de faire entreprendre pour répondre aux appels positifs et négatifs des forces des pouvoirs et de leurs volonté et de leur objet de leurs passion sensibles ou intellectives. Le monde comme lieu de promesses et que la promesse suppose un écart, une distance, une séparation, une division d'une totalité et des graduations avec unité de graduation.
1. Existence et promesse
2. Promesse et pouvoir donc existence et pouvoir
3. Promesse et propriété et appropriation On ne peut pas se promettre ou promettre à autrui ce qui n'est pas de notre avoir ou de notre pouvoir à la créer comme avoir et en s'en approprier et en user comme bon nous semblé sans honte ni pudeur ou crainte aucune parce que ne souffrant d'aucune appropriation; On promet ce que l'on a déjà ou ce qu'on est  sûr de pouvoir atteindre.Le problème c'est quand Est-ce qu'on peut dire qu'une chose ou un être est la propriété d'un autre OU encore quand Est-ce qu'une chose peut être stabilisée et rapport entre avoir et devenir
4. Promesse et devenir
5. Promesse et insatisfaction
6. Devenir et extériorisation et extension et compressin mais dans le monde du devenir toujours insatble et plusieurs dans ses contenants et contenus il y a au moins une composante qui reste égale à elle-même et de l'état duquel cherche à se rapproprocher chaque chose séparés d'elle-même, c'est Dieu toujours Un et dans toute chose mais dans des états ou forme d'unification et d'organisation différente du Un particulier T parout ce qui est séparé de quelque chose qui lui est nécessaire est séparé d'une partie de lui-même et toute chose séparée d'elle-même de ce qu'elle doit être c'est-à-dire Un, tend à devenir ou à redevenir Un et s'appropcher de plus en plus de lui-même et de Dieu et de la vérité et des lois et des formes des toutes choses mesurables dans la Grande SCIENCE de la transparence nécessaire au berger et à certaines choses et êtres conduits un berger ou se conduisant ensemble dans leur interaction et les êtres artificiel qu'il se crée come Etat gouvernem.
7. De Dieu L'ETRE UN et impérissable et s'organisant et organisant la matière comme il veut en lui donner toutes apparences et toutes formes et tous pouvoirs et toutes activités est en toute chose et organise toute chose de manière différente ou permet à toute chose avec laquelle il entre en interaction de s'autoorganiser en harmonie ou en dysharmonie avec son architecture initial ayant le pouvoir d'extension et de compression.
9. Du monde et des êtres et des choses et de leur mouvement par leur pouvoir individuels et par le pouvoir visible ou invisible que forment leurs pouvoirs dans leur interaction volontaire ou involontaire
24. De la liberté de la satisfaction du besoin
23; De la gouvernance surveillance métier du berger
7. Devenir et poursuite d'une fin, d'une limite et donc quantité ou grandeur de temps d'espace de qualité de l'existence à parcourir Tout ce qui est en samouvement conscient ou inconsciemment poursuit un certain but, une fin dans laquelle se trouve le meilleur ou le pire de son état existentiel
9. Ce qui est recherché est toujours en dehors de soi ou nécessite une interaction avec un extérieur ou un environnement et des situation de mouvement et d'activité signifiant transformation et dont existence et coopération et conflit et réseau Toute succession de faits semblables ou différents n'est pas un changement ou un signe de devenir ou un fait de devenir mais le devenir est la succession d'un ensemble de faits qui sortent les uns des autres de manière nécessaire contrôlée de lintérieur de sa source ou de l'extérieur et que dans le mouvement des êtres et des choses dans l'espace et le temps et les lieux et dans les yeux et les oreilles des choses, il y a ce qui reste constant, par exemple, un voyageur peut changer de chemin ou de piste sur un chemin général segmenté, brisé, divisé qui reste le même décomposé, changer de direction par rapport à un observateur extérieur sans changer de formes extérieur supposer
11. Ce qui fait problème à preuve vue ou audition ou toucher ou après analyse approfondie, c'est ce qui fait problème, ce qui écarte de la norme ou de l'habitude
10; Des pouvoirs dans leurs champs d'interaction des pouvoirs particuliers et publics, de la nature des pouvoir, pouvoir positif et pouvoir négatif et de la recherché de l'équilibre de l'être le meilleur par l'organisation volontaire ou naturelle par force invisible du monde et de la modification des formes et ordres selon les évènement et autres facteurs

Toute promesse est toujours tenu et réalisé ou non par un certain pouvoir mais pas tous les êtres et toutes les choses de l'existence sont constitués chacun avec une certaine part du pouvoir de l'univers qui leur est nécessaire mais pas suffisante, tous les êtres de l'existence ne peuvent pas faire de promesse. La promesse est un contrat qu'un pouvoir conscient de ses forces et de ses droits et devoirs et de ses limites, conscient des pouvoirs des choses et des êtres extensibles ou fixes et de son monde, établit avec lui-même, avec autrui ou avec le monde L'animal ne peut rien promettre parce que l'animal n'a aucun pouvoir sui lui ou sur le monde c'est pourquoi il est la réalisation absolue d'une promesse faite à l'existence par un certain pouvoir.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre visibles le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais
exister c'est jaillir d'un monde intérieur vers un monde extérieur pour répondre à l'appel d'une promesse qui vient de sa propre intimité d'une autre intimité au sein de son monde. Tant qu'un chose ou un être vivant dans la nature ou parmi les hommes retrouve un individu ou un peuple retrouve toute la promesse qu'il s'est faite lui-même ou qui lui est faite par un autre berger ou partenaire dans le monde, ou au moins une partie de la promesse qui lui est faite ou des fondements sûr de l'existence de cette promesse et des signes qui lui font croire qu'il peut atteindre encore ce pour quoi ll es dans son monde, il peut continuer à vivre à lutter et à vaincre même dans les circonstances et les situations les plus difficiles et les moins faciles pour lui.  L'homme se suicide selon Camus, lorsque son monde ne lui promet plus rien et lorsque lui-même ne peut plus rie se promettre ou promettre à ce monde dans lequel il décide de supprimer volontairement sa vie.

Les différence entre les hommes, les peuples et leurs dirigeants et fonctionnaires que l'on appelle de divers noms communs tels que député, ministre,maire, président, ne se trouvent pas seulement dans les lois, principes, règlements et méthodes ou stratégies qui sont orientent leurs activités et leurs actions particulières.
Tous les hommes font des promesses parce que la vie est essentiellement une présence dans
nindividuellement et colectiveent chacun dans sa solitude et à lui-même et aux autres dans leurs diverses assemblées assemblées avec

vendredi 9 octobre 2015

Comment je vois l'existence avant de penser sa gouvernabilité et sa gouvernance

PREMIERE PARTIE; CE QUE LES CULTURES ET LES LANGUES DISENT DE L'EXISTENCE


CHAPITRE I DU MOT EXISTER DANS QUELQUES CULTURES ET LANGUES




I. CHEZ LES LATINS EXISTER C'EST SORTIR DE QUELQUE CHOSE S'EXTERIORISER SE MONTRER SE DEVOILER APPARAITRE SE DETACHER DE QUELQUE CHOSE PASSER D'UN LIEU ET D'UN TEMPS VERS UN AUTRE AVOIR DES LIMITES EN TANT QUE CONTENANT OU CONTENU



II. CHEZ LES FRANCAIS ET DANS LE LAROUSSE EXISTER C'EST ETRE PRESENT DANS QUELQUE CHOSE DANS UNE ETENDUE SPATIALE ET TEMPORELLE OCCUPER UNE PLACE DONT LA VALEUR DEPEND DE L'ETENDUE OCCUPEE PHYSIQUEMENT OU SELON LES EFFETS DE LA PRESENCE OU DE L'ABSENCE ETRE VU ETRE DETECTE ETRE PRESENTABLE ETRE DESCRIPTIBLE ETRE DEFINI ETRE MESURABLE ETRE VU AVOIR DES LIMITES NATURELLES OU CONVENTIONNELLES EXTENSIBLES ET COMPRESSIBLES OU NON MODIFIABLES



III. CHEZ LES SERERES ET LES WOLOF DU SENEGAL EXISTER C'EST " AVOIR" ETRE PROPRIETAIRE DE QUELQUE CHOSE EN TANT QU'INDIVIDU OU REFROUPEMENT D'INDIVIDU PAR NATURE OU PAR ACQUISITION ET TRAVAIL ET TRANSFORMATION DE SOI OU DE QUELQUE CHOSE D'AUTRE OU DE SON ENVIRONNEMENT


IV, CE QUE CES INDICATIONS SUR L'EXISTENCE SUPPOSENT COMME CONDITIONS ET CONSEQUENCES NECESSAIRES POUR EXISTER ET CE QU'ELLES ONT EN COMMUN
EXISTENCE ET MOUVEMENT PUISQUE CE QUI SORT OU ENTRE EST EN MOUVEMENT PAR LUI MEME OU TRANSPORTE EXISTENCE ET FORCE PUISQUE TOUT MOUVEMENT SUPPOSE UNE CHARGE A DEPLACER DANS L'INTIMITE DU MOBILE OU EN DEHORS DU MOBILE EXISTENCE ET ACTION PUISQUE DEPLACER UN OBSTACLE C'EST AGIR APPLIQUER UNE CERTAINE FORCE SUR UNE AUTRE FORCE DE RESISTANCE GRANDE OU PETITE MAIS JAMAIS NULLE PUISQUE TOUTE CHOSE EST CHARGE D'UN CERTAIN POUVOIR QUI LUI PERMET D'AGIR ET DE REAGIR EXISTENCE. EXISTENCE ET ACTION PUISQUE POUR SORTIR OU FAIRE SORTIR DE SON INTIMITE OU D'UNE AUTRE INTIMITE IL FAUT QUELQUE CHOSE QUI EST DEJA CONSTITUE ET IL NE PEUT PAS Y AVOIR DE CONSTITUTION SANS ACTION ET BESOIN PUISQUE CE QUI EST A L'ABRI DU BESOIN EST COMPLETEMENT ET ABSOLUMENT OU RELATIVEMENT REPLIE DANS SON INTIMITE ET VIT DE SES PROPRES RESSOURCES ET QUE SORTIR C'EST ALLER ALLER A LA RENCONTRE DE QUELQUE CHOSE DONT ON ENTEND L'APPEL POUR RECEVOIR QUELQUE CHOSE DE SA PRESENCE OU POUR DONNER QUELQUE CHOSE DE CE QU'IL CHERCHE EXISTENCE ET COMMUNICATION EXISTENCE ET LANGAGE EXISTENCE ET IDENTITE LE MONDE EST UN LIEU DE RENCONTRE UN PATURAGE DE CHOSES ET ETRES VIVANTS SENSIBLES ET INTELLIGENTS INDIVIDUELLEMENT ET COLLECTIVEMENT CHARGES DE POUVOIR EXTENSIBLES ET COMPRESSIBLES NATURELS ET ACQUIS QUI SONT A LA RECHERCHE D'UNE PARTIE DE LEURS POUVOIRS NECESSAIRES DONT ILS SONT SEPARES QUE LES ETRES LES PLUS SEPARES DEUX MEMES ET LES UNS DES AUTRES PAR LEUR COMPTENCES OU POUVOIRES SONT LES ETRES QUI VIVENT EN SOCIETE CE QUI REPOND A UN APPEL ET QUI SORT DE SON INTIMITE OU DE SON ABRI EST SEPARE DE QUELQUE CHOSE CE QUI SE MEUT EST TOUJOURS SEPARE DE LUI MEME ET DE QUELQUE CHOSE ET PAR QUELQUE CHOSE QUI LE DIVISE EN DEUX OU PLUS DE DEUX PARTIES

                                                                CHAPITRE II
CE QUE L'EXPERIENCE DIT DE L'EXISTENCE DANS LES CHOSES DE LA NATURE ET DANS CELLES DE LA CULTURES

I, TOUT CE QUI EXISTE DANS LA NATURE EST DANS QUELQUE CHOSE D'AUTRE ET CONTIENT QUELQUE CHOSE QUI EST SON AVOIR ET QUI LUI DONNE UN CERTAIN POUVOIR D'AGIR OU DE RECEVOIR UNE CERTAINE ACTION










SUJET: Il ne peut pas y avoir d'existence sans action et il ne peut pas y avoir d'action sans existence
Toute chose existe donc dans la nature et dans l'histoire par l'action volontaire et libre ou accidentel d'un certain pouvoir
Tout ce qui existe est créé par un certain pouvoir en dehors de son intimité et avec un pouvoir initial qui est son capital et représente une certaine part dans le pouvoir universel du pouvoir du monde naturel ou politique
Tout ce qui existe se pense et se forme une bonne fois avec toutes ses composantes et pouvoirs dès son apparition dans l'esprit ou dans l'histoire
Rien n'est créé avec et ne peut agir et créé par son seul pouvoir, toute chose est constitué par un certains pouvoirs qui lui est nécessaire et séparé d'une autre partie de son pouvoir individuel ou collectif nécessaire si ce n'est dans la nature Dieu et les "producteurs autonome"
Tous les êtres séparés de leur être, de quelque chose de leurs composantes sont condamnés à s'attirer, à détacher, à s'appeler, à se sentir et à répondre les uns aux autres, à s'assembler et à former des corps nouveaux en tant qu'environnement comme les corps ou groupements sociaux et des corps ou des composantes nouveaux dans leur intimité aux sein de ces espaces de rencontre et de vie qui s'ajoutent aux premières naturelles
Toute chose apparaît dans un champs de pouvoirs positif et négatif en interaction
Toute chose peuvent gagner ou perdre quelque chose de son pouvoir individuel ou collectif qui lui est nécessaire dans le mouvement de ses interactions avec d'autres pouvoir et voir son pouvoir ou ce qui le sépare de son pouvoir nécessaire pour atteindre sa fin subir un mouvement de compression ou d'extension
L'existant entier et libre et heureux est celui qui n'est séparé d'aucune portion de son pouvoir nécessaire, celui qui totalement en lui-même comme l'escargot sous le monde de sa coquille
La liberté dépend de l'écart entre un pouvoir nécessaire dans une action et dans une situation particulière avec la partie du pouvoir  nécessaire dont on dispose individuellement ou collectivement dans une situation donné pratique ou théorique
Toute extension des pouvoirs individuels ou public des choses et des êtres dans la nature n'est pas en soi une extension qui les rapprochent individuellement chacun de lui-même et collectivement chacun de ses semblables
Exister pour une chose ou un être doué de raison et de sensibilité, c'est agir et réagir par sa sensibilité ou par son intelligence dans un champs de pouvoirs en interaction volontairement ou involontairement en subissant dans cet espace de rencontre de pouvoirs un mouvement d'extension ou de compression de ses pouvoirs dont la conséquence positive ou négative est de se rapprocher de soi ou de s'éloigner de soi, de ce qui nous est nécessaire pour atteindre une fin ou en s'en éloignant, la fin de toute chose séparée d'elle-même par la nature ou par l'histoire étant de se rapprocher et de devenir de plus en plus proche de soi-même, de ce que l'on doit être ou de ce que l'on veut être individuellement ou collectivement dans la nature ou dans l'histoire
Le monde est obscur parce qu'une chose séparée d'une partie du pouvoir qui lui est nécessaire est à la fois cachée et présente à elle-même et aux autres
Il faut un berger pour bien voir et distinguer les pouvoirs nécessaires et favorables et les pouvoir non favorables et non nécessaire dans son intimité et dans les mondes de ses réseaux relationnels
La bonne gouvernance est celle du berger dont le pouvoir est de rapprocher toute chose de ce qui lui est nécessaire et dont elle est séparée pour la rendre de plus en plus claire à elle-même et aux autres et de la mettre en sécurité dans un monde de plus en plus clair dans lequel toute chose s'approche de ce qu'elle doit être et se détache de ce qu'elle ne doit pas être

mardi 6 octobre 2015

Existence et communication: Médias,isolement, interaction


            ...  EXISTENCE ET COMMUNICATION..., appel, présence, réponse, pouvoir, action, influence, besoin, faiblesse, société, séparation, division, unité, extension, compression, liberté, bonheur, monde, pâturage, attraction, rapprochement, répulsion, éloignement, détachement...
 
 
Il n' y a pas de doute à propos: parmi les visées à la genèse intellectuelle et à la constitution matérielle et historique des divers médias classiques et des médias actuels qui composent les réseaux sociaux dans l'espace du monde d'internet, il y a l'intention de sortir les hommes et les peuples de leur isolement. Tous les médias naissent dans la société et répondent au besoin général humain de communiquer fondé dans cette faiblesse naturelle d'être incapable à vivre sans parler à l'autre, sans regarder, sans copier ou s'opposer à l'autre. C'est pourquoi la communication est un haut lieu de coopération et de conflits individuels et sociaux. Les divers médias sociaux auraient pour conséquence générale de rapprocher les hommes et les peuples, directement ou indirectement, par leur esprit et par leur corps et par leur environnement et de les faire interagir dans la coopération et dans le conflit. notre monde intérieur sensible et intelligible. Nous entrons dans le monde des autres, dans leur intimité consciente et inconsciente, directement ou indirectement, dans leurs pensées et dans leurs actes libres ou inconscients dont les traces se voient dans leur intimité ou dans leur environnement extérieur. Les choses et les  êtres avec lesquels je communique entrent aussi en contact avec moi, en surface ou en profondeur et s'empare de quelque chose qui est en moi, propre ou étranger à moi et dépose en moi, en surface ou en profondeur, quelque chose de l'existence qui est à moi ou qui m'est étranger, qui est personnellement à moi ou qui est un bien collectif dont je suis propriétaire mais pas l'unique propriétaire et donc propriétaire avec des droits et des devoirs limités. Mais il ne suffit pas d'entendre les autres ou de les voir ou d'être vu et entendu qui sort d'existence de sa solitude. C'est la réponse à notre appel ou notre réponse positive ou négative à un appel qui vient du monde extérieur ou du monde intérieur intime et individuel qui est le signe de la sortie de l'état de solitude dans le monde. c'est pourquoi dans les réseaux sociaux, s'il est important de lire, il est aussi important de commenter et c'est pourquoi la censure est en contradiction avec ce principe fondamental de l'interaction dans les réseaux sociaux, ces grandes assemblées de rencontres d'êtres humains sensibles et intelligents et avec d'autres présences chargés de pouvoir d'action et d'influence dans les champs des pouvoirs au sein desquels ils font leur apparition et se meuvent dans le sens d'une extension ou d'une compression.