dimanche 11 octobre 2015

Existence et promesse


 Selon Le Larousse et certaines  indications venant des sources latines du mot exister veut dire être présent dans quelque chose, sortir de quelque chose en s'extériorisation d'un coup ou de manière progresse, se stabiliser, etc. Or être présent c'est occuper une place dans un contenant; ce qui veut dire que ce qui existe est soi un contenant soit un contenu de manière permanente ou selon les situations et les rapports dans un réseau. Cela veut dire que rien n'est seul ou isolé si ce n'est l'existant qui sa son contenant et son contenu intégralement approprié... Etre présent aussi c'est répondre à un appel et que donc être présent aussi c'est avoir le pouvoir d'émettre un appel. En conséquence, exister c'est être dans un champ relationnel et communiquer ou échanger, donner ou recevoir volontairement ou involontairement dans un champ d'interaction. En donnant et en recevant l'existant gagne et peut perdre et ce qui peut donner. Exister c'est donc pouvoir...




L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et... de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? Qu'Est-ce que notre école promet à ces humains dont elle poursuit la formation selon la nature ou contre la nature et contre sa volonté? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?
Existences, promesses et mondes dans la nature et dans l'histoire parmi les hommes

L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde  possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a  rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?


L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d(entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre ce qui est promis au corps ou à l'esprit, à moi ou à autrui  la possibilité théorique de la réalité de cette promesse et de la possibilité historique de l'atteindre individuellement ou collectivement, de réduire l'écart qui sépare d'elle en s'en rapprochant de lus en plus et le maximum possible et souhaité pour s'en approprier et par la suite d'être heureux et libre ou au moins en paix intérieurement. le lus visible le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais



L'existence est un mouvement individuel et général de choses et d'êtres vivants ayant chacun un certain pouvoir et chaque chose et chaque être vivant encore non satisfait ou libre ou pleinement libre poursuit une certaine promesse lui ayant dit que toute chose et toute être est né dans la nature et parmi les hommes pour atteindre une certaine promesse qu'il s'et fait lui-même à lui-même ou qu'il a fait à un autre existant dans le même état ou dans un état différent

La différence fondamentale entre l'homme et l'animal dans le même monde mais dans des régions différentes au sein de cet espace de rencontre, c'est qu'aucun animal ne sait promettre, ni à lui-même ni à un autre ni à son monde parce qu'à aucun animal, il n'est rien promis, tout lui a été donné par l'esprit de Dieu et par les composantes naturelles des choses et des êtres et des évènements, des activités ou des actions théoriques ou pratiques que l'esprit de Dieu peut promettre d'entreprendre ou de faire entreprendre pour répondre aux appels positifs et négatifs des forces des pouvoirs et de leurs volonté et de leur objet de leurs passion sensibles ou intellectives. Le monde comme lieu de promesses et que la promesse suppose un écart, une distance, une séparation, une division d'une totalité et des graduations avec unité de graduation.
1. Existence et promesse
2. Promesse et pouvoir donc existence et pouvoir
3. Promesse et propriété et appropriation On ne peut pas se promettre ou promettre à autrui ce qui n'est pas de notre avoir ou de notre pouvoir à la créer comme avoir et en s'en approprier et en user comme bon nous semblé sans honte ni pudeur ou crainte aucune parce que ne souffrant d'aucune appropriation; On promet ce que l'on a déjà ou ce qu'on est  sûr de pouvoir atteindre.Le problème c'est quand Est-ce qu'on peut dire qu'une chose ou un être est la propriété d'un autre OU encore quand Est-ce qu'une chose peut être stabilisée et rapport entre avoir et devenir
4. Promesse et devenir
5. Promesse et insatisfaction
6. Devenir et extériorisation et extension et compressin mais dans le monde du devenir toujours insatble et plusieurs dans ses contenants et contenus il y a au moins une composante qui reste égale à elle-même et de l'état duquel cherche à se rapproprocher chaque chose séparés d'elle-même, c'est Dieu toujours Un et dans toute chose mais dans des états ou forme d'unification et d'organisation différente du Un particulier T parout ce qui est séparé de quelque chose qui lui est nécessaire est séparé d'une partie de lui-même et toute chose séparée d'elle-même de ce qu'elle doit être c'est-à-dire Un, tend à devenir ou à redevenir Un et s'appropcher de plus en plus de lui-même et de Dieu et de la vérité et des lois et des formes des toutes choses mesurables dans la Grande SCIENCE de la transparence nécessaire au berger et à certaines choses et êtres conduits un berger ou se conduisant ensemble dans leur interaction et les êtres artificiel qu'il se crée come Etat gouvernem.
7. De Dieu L'ETRE UN et impérissable et s'organisant et organisant la matière comme il veut en lui donner toutes apparences et toutes formes et tous pouvoirs et toutes activités est en toute chose et organise toute chose de manière différente ou permet à toute chose avec laquelle il entre en interaction de s'autoorganiser en harmonie ou en dysharmonie avec son architecture initial ayant le pouvoir d'extension et de compression.
9. Du monde et des êtres et des choses et de leur mouvement par leur pouvoir individuels et par le pouvoir visible ou invisible que forment leurs pouvoirs dans leur interaction volontaire ou involontaire
24. De la liberté de la satisfaction du besoin
23; De la gouvernance surveillance métier du berger
7. Devenir et poursuite d'une fin, d'une limite et donc quantité ou grandeur de temps d'espace de qualité de l'existence à parcourir Tout ce qui est en samouvement conscient ou inconsciemment poursuit un certain but, une fin dans laquelle se trouve le meilleur ou le pire de son état existentiel
9. Ce qui est recherché est toujours en dehors de soi ou nécessite une interaction avec un extérieur ou un environnement et des situation de mouvement et d'activité signifiant transformation et dont existence et coopération et conflit et réseau Toute succession de faits semblables ou différents n'est pas un changement ou un signe de devenir ou un fait de devenir mais le devenir est la succession d'un ensemble de faits qui sortent les uns des autres de manière nécessaire contrôlée de lintérieur de sa source ou de l'extérieur et que dans le mouvement des êtres et des choses dans l'espace et le temps et les lieux et dans les yeux et les oreilles des choses, il y a ce qui reste constant, par exemple, un voyageur peut changer de chemin ou de piste sur un chemin général segmenté, brisé, divisé qui reste le même décomposé, changer de direction par rapport à un observateur extérieur sans changer de formes extérieur supposer
11. Ce qui fait problème à preuve vue ou audition ou toucher ou après analyse approfondie, c'est ce qui fait problème, ce qui écarte de la norme ou de l'habitude
10; Des pouvoirs dans leurs champs d'interaction des pouvoirs particuliers et publics, de la nature des pouvoir, pouvoir positif et pouvoir négatif et de la recherché de l'équilibre de l'être le meilleur par l'organisation volontaire ou naturelle par force invisible du monde et de la modification des formes et ordres selon les évènement et autres facteurs

Toute promesse est toujours tenu et réalisé ou non par un certain pouvoir mais pas tous les êtres et toutes les choses de l'existence sont constitués chacun avec une certaine part du pouvoir de l'univers qui leur est nécessaire mais pas suffisante, tous les êtres de l'existence ne peuvent pas faire de promesse. La promesse est un contrat qu'un pouvoir conscient de ses forces et de ses droits et devoirs et de ses limites, conscient des pouvoirs des choses et des êtres extensibles ou fixes et de son monde, établit avec lui-même, avec autrui ou avec le monde L'animal ne peut rien promettre parce que l'animal n'a aucun pouvoir sui lui ou sur le monde c'est pourquoi il est la réalisation absolue d'une promesse faite à l'existence par un certain pouvoir.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre visibles le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais
exister c'est jaillir d'un monde intérieur vers un monde extérieur pour répondre à l'appel d'une promesse qui vient de sa propre intimité d'une autre intimité au sein de son monde. Tant qu'un chose ou un être vivant dans la nature ou parmi les hommes retrouve un individu ou un peuple retrouve toute la promesse qu'il s'est faite lui-même ou qui lui est faite par un autre berger ou partenaire dans le monde, ou au moins une partie de la promesse qui lui est faite ou des fondements sûr de l'existence de cette promesse et des signes qui lui font croire qu'il peut atteindre encore ce pour quoi ll es dans son monde, il peut continuer à vivre à lutter et à vaincre même dans les circonstances et les situations les plus difficiles et les moins faciles pour lui.  L'homme se suicide selon Camus, lorsque son monde ne lui promet plus rien et lorsque lui-même ne peut plus rie se promettre ou promettre à ce monde dans lequel il décide de supprimer volontairement sa vie.

Les différence entre les hommes, les peuples et leurs dirigeants et fonctionnaires que l'on appelle de divers noms communs tels que député, ministre,maire, président, ne se trouvent pas seulement dans les lois, principes, règlements et méthodes ou stratégies qui sont orientent leurs activités et leurs actions particulières.
Tous les hommes font des promesses parce que la vie est essentiellement une présence dans
nindividuellement et colectiveent chacun dans sa solitude et à lui-même et aux autres dans leurs diverses assemblées assemblées avec

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