jeudi 31 décembre 2015

PARLONS D'ABORD DE L'EXISTENCE AVANT DE SE DEMANDER CE QUE SERAIT LA BONNE GOUVERNANCE(2)

I.ETRE ET DEVENIR ESSENCE ET EXISTENCE

 Tout ce qui existe est déjà quelque chose, soit un CONTENANT CONTENU OU CORDON? Physique, matériel et sensible ou psychique, métaphysique et intelligible.  LOGIQUE OU PHYSIQUE c'est-à-dire un certain être absolument réalisé et stable et incorruptible ou est en train de chercher à devenir volontairement ou non quelque chose dans son intimité et dans son environnement dans la nature et parmi les hommes et la fin de toute chose est cet être de lui-même qu'il poursuit, ce qui veut dire que tout ce qui n'est pas encore arrivé à sa fin est séparé de quelque chose et de lui-même, par la nature ou par accident ou volontairement par contrat et ce dont il est séparé est soit nécessaire, soit non nécessaire


II. GOUVERNER
 c'est conserver ce qui est déjà réalisé ou gérer le devenir c'est-à-dire les possibles qui peuvent apparaître dans les choses et dans les êtres soit en les rapprochant de ce qu'ils doivent être ou en les éloignant de leur fin qui est de s'approprier d'une part d'un pouvoir qui leur est nécessaire pour poursuivre leur fin l'atteindre ou s'en approcher le maximum possible et c'est parce que chaque chose en devenir est séparé de quelque chose et de lui-même que tous les êtres et les choses en devenir sont dans un monde, dans un espace d'échange toujours assimilable à un marché, à des pâturages avec ou sans berger et que certains sont obligés de vivre en société et c'est pourquoi aussi il y a la guerre parce que tout ce dont un être ou une chose est séparée et qui lui est nécessaire ou utile se trouve dans une autre chose, dans un autre être, volontairement ou accidentellement et ce qui appartient en propre au capital existentiel d'une chose et qui se trouve dans une autre est nécessairement appelé à rejoindre son propriétaire



III. LE MONDE COMME UN PÂTURAGE OU UN MARCHE QUI REPOND A DES APPELS ET EMET DES  APPELS EN DESTINATION DES CHOSES ET DES ETRES QUI LE COMPOSENT
Dans un marché comme dans un pâturage de même que pour tout être qui se meut volontairement ou involontairement, il y a un objet spécifique qui est chargé d'un certain pouvoir qui représente l'objet ultime qu'il recherche. Tout être répond à l'appel d'un objet et appel l'existence et la présence d'un certaine pouvoir dans un certain objet dans un certain état. Il n'existe pas d'objet particulier qui pourrait convenir à la passion ou à la raison de tous les êtres vivants sensibles et intelligents. Mais il y a un objet qui est commun à l'homme et au crapaud et cet objet qui est la colonne vertébrale de tous les êtres en devenir et de tous les êtres accomplis, c'est le Bien. Comme le bien varie d'un individu à un autre et même d'un moment à un autre pour un même sujet sensible ou pensant, il ne peut être défini qu'en fonction de l'individu. Ce qui est bien c'est ce qui rapproche l'existant de ce qu'il doit être, de ce qu'il veut être, de ce qu'il peut être ou qui l'éloigne de ce qu'il ne voudrait ou ne devrait pas être. Ce qui est bien, c'est ce qui rapproche l'être séparé de son être de lui-même, ce qui contribue à retrouver les parties et les pouvoirs dont il est séparés et à le réunifier, à lui rendre son intégrité naturelle ou sociale.


IV. DES ORIGINES ET DES FONDEMENTS DE LA SURVEILLANCE DE L'EXISTENCE PAR L'EXISTENCE ET DU METIER DE BERGER ET DE LA DIVISION DE L'EXISTENCE DE CE QUE SUPPOSE LA SURVEILLANCE ET LE METIER DE BERGER COMME DIFFICULTES OBSTACLES BUT FINALITE SATISFACTION CONNAISSANCE SCIENCE MORALE ETHIQUE HIERARCHIE ENTRE LES SURVEILLES ET LES SURVEILLANTS


LES CHOSES ET LES ETRES SEPARES DE POUVOIR QUI LEUR SONT NECESSAIRE ET D'EUX-MEMES SONT DIVISES ET DONC A LA FOIS OBSCURS ET CLAIRS APPARENT ET CACHES PRESENT ET ABSENT C'EST POURQUOI IL NE SUFFIT PAS QUE L'OBJET RECHERCHE EXISTE POUR Y ARRIVER ET C'EST POURQUOI DANS LE MONDE COMME PÂTURAGE CERTAINS CHOSES ET CERTAINS ETRES VIVANTS ONT BESOIN DE BERGER ET CERTAINS ET LA PLUPART EST ATTACHE DANS SA CONSTITUTION NATURELLE OU ARTIFICIELLE A UNE BERGERE QUE L'ON APPELLE CONSCIENCE ET LA TACHE DU BERGER EST DE CONDUIRE CE QU'IL CONDUIT VERS CE QUI LUI EST NECESSAIRE ET QUI LUI FAIT DEFAUT ET QUI EST A RETROUVE COMME DEJA ACHEVE OU A CONCEVOIR ET A REALISER. Le même troupeau ne revient pas des mêmes pâturage avec la même satisfaction et donc ce n'est pas l'abondance ou la rareté des pâturages en soi qui détermine la satiété du bétail mais la connaissance que le berger a de son activité, de la science du berger qui consiste essentiellement à organiser des pouvoirs individuels et des pouvoirs associés formant des choses et des êtres modifiables et tendant vers leur état de stabilité et de satisfaction le plus haut dans les régions du monde


IV.DU BIEN ET DU MAL ET DE LA BONNE GOUVERNANCE

 La bonne gouvernance est visible ou indiquée entres autres indicateurs par la distance qui sépare un existant quelconque de son être, de ce qu'il doit être, de ce qu'il veut être dans une situation et dans un temps déterminé et cette distance se mesure en fonction de la fréquence et de la nature des conflits de l'existant avec lui-même en tant qu'intimité contenant du multiple, des pouvoirs positifs et des pouvoirs négatifs qui s'organisent de diverses manières et par ses conflits avec son environnement naturels ou social et les composantes de même nature ou de natures différentes dans cet environnement

mercredi 30 décembre 2015

ANNE DUFOURMANTELLE: Vivre c'est répondre présent à l'appel du risque

 
 
La vie est un risque inconsidéré pris par nous, les vivants.
Notre temps est placé sous le signe du risque: calculs de probabilité, sondages, scénarios autour des krachs boursiers, évaluation psychique des individus, anticipations des catastrophes naturelles, cellules de crise, caméras; plus aucune dimension du discours politique ou éthique n'y échappe. Aujourd'hui le principe de précaution est devenu la norme. En termes de vies humaines, d'accidents, de terrorisme, de revendications sociales, il est un curseur que l'on déplace au gré de la mobilisation collective et de l'affairisme économique; pour autant, il reste une valeur inquestionnée.
Eurydice, figure intemporelle et ultracontemporaine, elle est celle qui par amour a été cherchée jusque dans la mort. Prendre le risque de ne pas mourir pose la question de savoir ce qui fait de nous des vivants, mais plus encore des êtres capables, comme Eurydice, d'appeler. Le mythe ne parle pas de l'appel d'Eurydice, et pourtant cet appel, et le retournement fatal d'Orphée qui lui répond est l'essence, je crois, de lien humain. L'invocation fonde notre premier lien à l'autre depuis l'origine fœtale jusqu'à notre fin, qui nous traverse et nous constitue autrement que comme seuls corps intelligents- c'est-à-dire des êtres capables de cet événement sidérant: aimer.
 
ANNE DUFOURMANTELLE, Eloge du risque.

Hannah Arend sur La Terreur d'hier et d'aujourd'hui

 
 
Une différence fondamentale entre les dictatures modernes et toutes les autres tyrannies d'autrefois est que la terreur ne sert plus à exterminer et à épouvanter les adversaires, mais à gouverner des masses parfaitement dociles.La terreur telle que nous la connaissons aujourd'hui frappe sans qu'il y ait auparavant provocation, et ses victimes sont innocentes, même du point de vue de l'oppresseur. Ce fut le cas dans l'Allemagne nazie, où la terreur fut pleinement employée contre les Juifs, c'est-à-dire des personnes qui avaient en commun certaines caractéristiques indépendantes de leur comportement spécifique. En Russie soviétique, la situation est moins claire, mais les faits malheureusement trop évidents. D'une part, le bolchévisme , à la différence du nazisme, n'a jamais professé la théorie de la terreur contre des innocents; si l'on considère certaines pratiques, on peut y voir de l'hypocrisie, mais il n'en demeure pas moins que la différence est grande. D'une part, sur un point au moins, la pratique est plus "évoluée" en Russie soviétique qu'en Allemagne: l'arbitraire de la terreur ne tient même pas compte de différences raciales, tandis que les anciennes catégories de classe ont disparu depuis longtemps, si bien que n'importe qui peut tout à coup devenir la victime de la terreur policière.
Nous n'examinerons pas ici la conséquence extrêmes du gouvernement par la terreur, à savoir que personne, pas mêmes les bourreaux, n'est jamais à l'abri de la peur; ce qui nous occupe, c'est l'arbitraire dans le choix des "victimes"; il est fondamental qu'elles soient objectivement innocentes et qu'elles soient choisies indépendamment de ce qu'elles peuvent avoir ou n'avoir pas fait.

 
HANNAH  ARENDT, Les Origines du totalitarisme.
 
 

lundi 7 décembre 2015

Un attelage de choses, d'être vivants et de nombre

A. Du Genre c'est ATTELAGE
I. Des nombre de Zéro à 9 dans l'attelage
II; De la signification concrète ou de la correspondance entre les nombres et les choses et les êtres vivants de l'attelage
III. De la structuration ou des liens entre les nombres et les choses et les êtres fixés immobile ou se déplaçant sur un même fil
IV. De l'être général formé en nombre, en lettres, en figures, en choses ou genre être vivant ou non vivant naturel ou art
IV. Du fonctionnement ou du mouvement des parties et de la Totalité formée par l'attelage
IV. De la tâche d'une partie ou de chacune des parties et du but ou résultat poursuivi par l'activité
V. De l'effets général et des effets particuliers et de la fin poursuivie et des changements dans cible et acteurs
VI. De l'OBJET ou de la cible de l'action
VI. Des composantes formant ou signifiant de l'espace
VII. Du moyen ou de l'action
VIII. Du commencement et de la fin de l'action
VIII. Du sens ou de l'orientation dans les quatre points cardinaux du cube ou de la direction et de la forme du mouvement des parties et de la totalité de l'attelage qui est mobile en avant et en arrière et qui a une tête
VVV. De la forme linéaire ou circulaire des mouvement, uniforme, linéaire ou accélération et ralenti et arrêt
VIII. Des repères immobile ou mobile de l'espace et dans les choses


EXEMPLEs  LECTURES DE ATTELAGE


CAS PARTICULIER N+1

DEUX TIRE QUATRE?
TETE DU TRONC DE LA TETE DE 2 COUCHE SUR LE VENTRE DANS UN LIT DONT UNE PARTIE EST SOUS UN MABW TOIT TIENT DANS SES MAINS UN COMPAS DONT LA TETE EST CARREE ET FAIT FACE A LA TETE ZERO ET LA TETE CARREE EST POSEE PAR SON COTE ENTRE SES DEUX PIEDS SUR LA PORTE D'UN CUBE SOUS LA MONTAGNE ET DANS LE VENTRE DE ZERO ET FAIT PASSER
FAIRE MONTER LE TOIT D'UNE CASE SUR LA CARPENTE DU TOIT DE LA CASE POSEE SUR UN CUBLE AU BAS DU QUEL UN DES COTE DU TOIT CHAPEAU MBAW A REMONTER ET DONT L'AUTRE COTE EST FIXE SUR UNE MEME REGLE SUR LAQUELLE EST POSE L'ANGLE DU MBAW ET PASSANT PAR LE SOMMET DE LA CHARPENTE ET PAR LE BAS DU MBAW A MONTER EN FAISANT TOURNER LE ZERO QUI EST LA TETE COMMUNE A 2 ET A I ET A 3 4 5 6 7 8 9 AUTOUR DE LA ROUE DU BOUT DU CTLINDRE QUI TRAVERSE LA NUQUE DE ZERO ET SORT PAR LA BOUCHE ET QUI EST DANS LA LE PAVIER SUR LA CUISSE DU PIED IMMOBILE? DE R DONT LE PIED LEVE TENANT PIED DE VERTICAL DE 4 ET LES 2 PIEDS DE A CARRE DONT LE GENOU DU DEUXIEME PIED EST LA DEUXIEME REGLE ET TENANT DANS LE CUBE DE LA CAUSE ENTRE LE LA CASE ET SA CLOTURE LE PIED VERTICAL DE 4 DANS UN PANIER DT SUR LE PIED ARRIERE SOUS CUBE TRONC TETE DE ZERO DONC  C'EST 2 PIEDS AVANT DE LA TETE ZERO ACCROCHES A UN PIED OU MAIN  Y DONT UN DOIT PASSE DEVANT LOEIL DROIT DE ZERO ET L'AUTRE DOIGT DE LA MAIN DEVANT OEIL GAUCHE TETE DE ZERO ET ET ERRIERE COU ET TETE DE ZERO 2,3,W, PIED 5sous cube de case et sur REGLE Pied arriere de QUI SE redresse en faisant tourner le cube et la case.;;;c'est A qui descend ou qui monte sur le tronc de la tête ou des reins ZERO et qui tourne autour d'une case avec un pied immobile dans dans le cylindre de la cheminée de la case

vendredi 4 décembre 2015

Théorie et réalité:Les deux chevaux de la boule de la montagne

Les deux chevaux qui sont attachés l'un sur l'autre par la ceinture de la Boule de la Bouteille sur laquelle A est assis à cheval au-dessus de la montagne le premier pied sur le cylindre derrière la pente arrière ou nord de la Montagne du Grenier de la Case et mordant la même Chaîne 4 x  du Mbaw de au-dessus de la tête du cheval du nord ouest tête et reins avant debout et le le Mbaw en dessous X'4 entrant dans le bol ovale sur pon t cylindre et bol contenant par boule qui la traverse bas vers le haut contenant la boule en haut et en bas ;;; tfont tourner la boule et la ceinture de la bouteille et la circonférence du fil des perles du bol ou le bol et font tourner ou sortir du grenier et la Flèche arrière qui vient se poser à la droit de la tête de la tête de l'animal LORSQUE et SELON le sens de rotation du volant de la queue du  poisson forme X dont la machoire contient un seau dans le bol divisé en trois seua et dont l'axe de rotation est dans la main de 5 l'épaule au centre de la tête du crâne de l'animal torure autour du Mbaw de la tête distant d'un d'autre au sud est dont il est aligné et confondu par un axe et par les deux côtés de chacun de leur quatre passe la flèce dont une extérémité est sur le crâne de l'animal de l'ouest et un autre par le centre de la base du cou de l'animal du nord est tirant la main du bras du canari 2  sortant de la porte du grenier devant la pied gauche de l'animal Volant queue du poisson tournant en tirant la corde qui s'enroule autour de la bouteille oblique entre les deux cou des deux animaux, l'un ouvert vers arrière opposé à l'autre et en rapprochant ou éloignant les deux mbaw formant au milieu de leur espace de rencontre un troisième autour duquel il tournent  dans le même sens en faisant monter ou decendre la corde de la Roue qui fait le tout cylindrique et servant de Bax entre les deux chevaux la boule la bouteille dont les deux pieds avant au nord ouest sont croisés et les deux pieds en haut tenant base bol croisé dans la partie du grenier au nord et entre leur croisement un croix forme queux posson... Le BEC de l'Oiseau à la porte de la corde la main de 5 tient le pied de la hauteur du grenier et la main de 5 une hauteur du triangle des triangles du centre mbaw circulaires et le corps de l'oiseau passe sous la boule en suivant contour  en trant par la porte ouest et sort par la porte opposé est et suit la circonférence du grenier du nord est en pentreant par porte à droite et fait tour du cenrle du faraj et sort et laissant le mbaw à sa droite et descend dans le grenier central forme un et renmonte sur le mbaw du crâne de l'animal immobile et arrive dans l'épaule de 5//////La Poudre de l'arbre du lutteur.....//////C'est  Ici l'Arène en allant vers ou en venant de L'autre juge dans les arènes....

mardi 24 novembre 2015

Parlons d'abord de l'existence:Si tout ce qui existe sort de quelque chose donc Dieu

PREMIERE PARTIE: DE L'EXISTENCE 
I. DES ORIGINES CULTURELLES ET LINGUISTIQUES DU MOTS DANS DIVERSES LANGUES CHEZ LES LATINS LES FRANçAIS LES WOLOFS ET LES SERERES DU SENEGAL
I.1. EXISTER CHEZ LES LATINS C'EST SORTIR DE QUELQUE CHOSE, S'EXTERIORISER SE DRESSER APPARAITRE ET DES PRESUPPOSES ET CONDITIONS NECESSAIRES
I.2. POUR LAROUSSE EXISTER C'EST ETRE PRESENT DANS QUELQUE CHOSE NOTAMMENT DANS UNE ETENDUE SPATIALE ET TEMPORELLE
II. DES CONDITIONS NECESSAIRES POUR FONDER L'EXISTENCE EN DROIT CHEZ LES LATINS ET DANS L'ESPRIT DE LA LANGUE FRANçAISE
II.1. Pour qu'il puisse y avoir présence et sortie de quelque chose il faut nécessairement CONTENANT constitué par ce qui sort par lui-même et par son propre pouvoir nécessaire à cette tâche naturelle ou acquise
II.2. Pour  qui sort de quelque chose sorte de quelque chose, de lui-même ou de quelque chose de différent, il faut nécessairement un contenu constuté et absolument achevé ou poursuivant sa constitution dans le monde de son devenir vers lequel il est expulsé par la contrainte, par la nature ou vers lequel il s'expulse et s'extériorise lui-même
II. Quand deux chose sont l'une sur l'autre ou l'une dans l'autre naturellement ou artificiellement si elles ne sont pas les mêmes ou si elles sont de même nature mais séparable et différenciable en terme de contenant et de contenu, il faut nécessairement ce qui les relie, un cordon ombilical naturel ou un connecteur logique matérielle ou immatériel
III. D'AUTRES CONDITIONS NECESSAIRES
1; tout ce qui existe est limité puisque sortie de quelque chose c'est sortir d'une intimité
2. ce qui existe est donc subjectivement mesurable par les mots ou par des chiffre ou par des figures parce que délimiter, mettre des bornes suppose des quantités fixes ou extensibles et compressible
III. CE QUE CONT LES CHOSES DANS LEUR NATURE ET DANS LEUR RESEAU RELTIONNEL
Les choses et les êtres qui constituent le grand ensemble de l'existence que l'on appelle monde ou univers sont soient des CONTENANT DES CONNECTEURS OU DES CONTENUS OU TANTOT CONTENANT ET CONTENU OU CONNECTEUR OU PLUSIEURS EN MEME TEMPS

IV. QUE CETTE VISION DE LA RELAITE EST CONFORME AVEC LES FAITS CONCRETS DE L'EXISTENCE
IV. DE L'EXISTENCE CHEZ LES WOLOFS ET LES SERERS
1; Ce qui existe c'est qui existe c'est ce qui a un certain avoir, une certaine propriété qui fait son capital
2; Exister chez les Sérère comme chez les Wolofs du Sénégal c'est "avoir"
3. Il s'agit donc de rechercher ce qui peut faire l'objet d'une appropriation d'une propriété, d'un avoir naturel ou acquis pour un existant c'est-dire pour contenir ou pour être contenu ou pour lier un contenant et un contenu
4; Pour le wolof comme pour le sérère, exister c'est être avec un certain pouvoir qui permet de contenir ou de se contenir ou de relier parce que contenir c'est absorber, stabiliser, délimité et servir de cordon c'est attacher une chose à une autre par une certaine force
5. Il est nécessaire que l'existence soit toujours accompagné de forces parce qu'il ne peut pas y avoir de contenu ou de contenant constitué sans une action et il ne peut pas y avoir d'action sans la force d'un certaine pouvoir

II. Concevoir l'existence avec les différentes composantes mises en évidence par analyse du mot Ce que veut dire le mot exister dans différentes cultures et langues latins, français, wolof, sérère

Tout ce qui existe se contient et sort d'un certain pouvoir et est constitué avec un certain pouvoir qui est son capital existentiel initial fixe ou modifiable, compressible et extensible ou se forme et apparaît dans un champ de pouvoirs en interaction dans leurs rencontre et formant des réseaux relationnels et des mondes au sein de la nature ou dans la culture. Exister c'est avoir un certain pouvoir, poursuivre un certain pouvoir, appartenir à un certain pouvoir

III.Du premier existant ou du premier pouvoir qui est son contenu et son contenu parfaitement identique et immobile ou invariable et autour duquel tournent les choses et les pouvoirs extensibles et compressibles dans leurs actions et dans leurs mouvements volontaires et involontaires et qui sont une partie du capital existentiel universel mobile et extensible
IV. Chaque chose mobile est séparé de quelque chose et que donc chaque pouvoir mobile extensible ou compressible est séparé d'un certain pouvoir individuel ou collectif ou environnemental qui lui est nécessaire et dont il est séparé c'est pourquoi les choses en devenir sont mobile et chacune tend vers une fin qui est le point l'état de son pouvoir optimal absolu quand il est parfaitement réalisé dans l'esprit ou dans l'histoire ou le plus proche possible de cet état
V. Que la gouvernance est la surveillance du mouvement des pouvoirs individuels et des pouvoirs collectifs des choses et des êtres dans leurs monde constitué de pouvoirs naturels et artificiellement créés et disposés dans l'espace extérieur et dans les choses et qu'il s'agit avant tout pour tout berger de distinguer les forces favorables et les forces défavorables et c'est pourquoi le métier de berger demande une certaine science de la nature et des choses et des êtres et une certaine sagesses et que l'état des choses et des êtres du monde au sein de la nature et dans l'histoire dépend de leur surveillance par ses bergers dans leur intimité et en dehors de leur intimité dans leur espace
VI. Plus un être ou une chose est séparé ou attaché à  quelque chose de nécessaire dans sa constitution ou dans son environnement ou dans son sa manière de se comporter, plus il est en conflit avec lui-même et avec un certain environnement et ses conflits sont les indicateurs qui contiennent quelque chose de vécu dans sa gouvernance personnelle ou collective
VII. CE QUI DONNE AUX CHOSES ET AUX ETRES LEURS SENS ET LEURS VALEURS
Dans la cause matérielle, dans la cause formelle, dans la cause efficiente dans la cause finale, et des composantes de la détermination de la valeur dans le temps et dans l'espace et leur changement et leur conservation dans les interaction des forces, le sens de l'existence d'une chose dépend de la nature de son pouvoir et de ce que ce pouvoir peut permettre de faire en terme d'influence positive ou négative dans une situation, par exemple créer un problème, aggraver ou contribuer à sa solution, de la valeur relative des choses dans la valeur des choses et de leurs effets dans leur goût, en philosophie et en science et en économie
VI. Que la réalité est à la fois une donnée et toujours reconstruite à partir de premiers éléments d'expérience ou métaphysique déjà disposés, organisés, reliés, sensibilité, chargé de pouvoir par la nature ou par l'expérience, une donnée absolue relativement peut-être variable dans la nature et toujours reconstruite par l'homme et donc dépend du langage et des signes numérique, alphabétique, géométriques ou logiques ou sonores ou visuels ou tactiles qui l'expriment exister c'est répondre à un appel ou exprimer un appel et donc communication
VI. Le pouvoir dont une chose est séparé se trouve toujours dans quelque chose d'autre qui le tient d'un certain droit ou par la force conventionnelle ou naturelle et c'est pourquoi les choses qui sont séparés d'eux-mêmes sont en mouvement, se rencontrent se mêlent, échangent, entrent en contact de diverses manières et perdent ou gagne et se rapprochent de leur meilleur état
V. Le métier de berger est nécessaire parce qu'une chose ou un être séparé de lui-même, de quelque chose d'autre qui lui est nécessaire parce que contenant un certain pouvoir négatif ou positif, est un être à la fois clair et obscur et un être qui ne peut pas voir ou entendre clairement puisqu'il est séparé d'un pouvoir qui peut affecter cette faculté et qu'il y a des pouvoir positif et négatif et des rencontres et que l'égarement est possible et donc une nécessité de connaître le monde comme un pâturage, un marché, une foire
VI. De ce qui de l'existence d'une chose divisé naturellement ou artificiellement est à l'intérieur caché et de ce qui est accessible de l'extérieur au sens ou immédiatement au sens commun au bon sens de leur relation et de leur rapport et dans quelle mesure ce qui est à l'extérieur peut-il conduire légitimement et surement par déduction ou reconstruction ou développement logique guidé par un principe ou règles,
VI. Que le repos ou l'équilibre est le signe indicateur d'un certain état et d'un degré de satisfaction que toute chose ou le moteur unique à l'origine des mouvements particuliers des choses et des êtres dans le mouvement général du monde; l'équilibre contient en même temps la santé et la liberté et la paix et le bonheur mais l'équilibre ce n'est pas le repos ou l'inaction mais la conservation d'un certain état de proportion entre les parties d'un pouvoirs général divisé en mouvement c'est-à-dire ayant un pont ou des pont et des chemin de transposition, de transfert de pouvoirs ou de quantité de pouvoir entre les parties dans lesquels se distribue le pouvoir général politique, économique, intellectuel ou d'une autre nature; La politique est à la fois un art et une science, une science au service du mieux être ou du mal être des choses et des êtres mais tous les moyens ne peuvent pas servir le bonheur de tous
VI. L'homme est l'être vivant le plus divisé, le plus séparé et le plus éloigné de lui-même et le plus apte à retrouver ce dont il est séparé et des théories qui parlent de la séparation de l'homme avec lui-même et que donc l'homme est à la recherche de lui-même ou de cette autre partie de lui-même dans les autres hommes ou dans quelque autre contenant ou libre de tout contenant parce qu'étant le soi de l'être accompli
VV. QUE TOUT CE QUI EXISTE ET QUI EST EN MESURE CHERCHE QUELQUE CHOSE DONT IL EST SEPARE ET QUI EST NECESSAIRE OU UTILE A SA SATISFACTION ET LA FIN DE TOUTE CHOSE EN MOUVEMENT C'EST SA SATISFACTION OU LE BONHEUR OU LA LIBERTE UNE CHOSE EST EN LIBERTE QUAND ELLE EST EN POSSESSION DE TOUT LE POUVOIR GENRAL ET DES POUVOIR PARTICULIERS QUI LUI SONT NECESSAIRE DANS UNE SITUATION OU DANS TOUTE SITUATION THEORIQUE OU PRATIQUE
 comme tout ce qui existe est constitué de pouvoirs ou dans un champ de pouvoir qui déterminent son mouvement sa mobilité ou son immobilisme externe ou externe on peut se demander quel est l'ensembles des forces, des pouvoirs et la nature des pouvoirs individuels ou collectifs qui conditionnaient le mouvement de l'homme et celui de la société et celui du monde et qu'elle est la fin de ce mouvement individuel et général c'est la recherche du meilleur équilibre définitif ou provisoire et que donc l'équilibre des pouvoirs dans les intimités des choses et des êtres ou dans leur environnement et entre les individus et l'environnement et leur harmonie interne ou externe en tant que totalité individuels faits d'un ensemble de pouvoirs ou totalité d'individus formant corps social est le principe, l'indicateur la boussole universelle de toutes les formes particulières de la bonne gouvernance et cet harmonie est toujours le résultats d'une certaines mise en relations et une certaine disposition des pouvoirs particuliers qui composent les individus naturels et artificiels que l'on appelle ver de terre, roseau sensible ou pensant ou société et cette disposition dépend de la connaissance des pouvoirs qui constituent initialement les choses et la connaissance de leur devenir inscrit dans ces pouvoir et que la science doit gouverner le monde ou au moins accompagner ceux qui gouvernent le monde quelque que soient les intentions de ces dernier et le rôle de la science est de mettre en évidence ce qui est possible d'extraire ,naturellement ou de produire avec les pouvoirs actuels dans les choses et dans les êtres le savant n'a qu'un devoir de vérité au sens de correspondance entre la théorie et la réalité, entre correspondance des faits qu'il produit avec les attentes, les désirs, les intentions du politique

samedi 21 novembre 2015

Qu'est-ce que veut dire Aristote: "La philosophie est la science de la totalité"?



La philosophie cherche à connaître ce qui contient tous les cas particuliers, toutes les composantes particulières secondaires et  accidentels possibles  qui se contiennent dans l'être qui représente leur colonne vertébrale, leur graine, et qui sortent avec des visages multiple selon les conditions du milieu d'accueil dans lequel apparaît l'être en soi, Un, général, universel, partout présent dans les cas particuliers de son existence, et qui, pour toute chose est ce que les racines représentent pour un arbre selon René Descartes, donc ce qui est nécessaire, essentiel premier pour que le reste de l'arbre, le tronc et les branche apparaissent. C'est pourquoi on dit que la philosophie est la connaissance du tout, de la totalité des possibles concrets et historiques possible pour un être donné, et non pas la connaissance ou la science du particulier. Ce qui doit nécessairement exister avant que nous ne voyions une chose ou un être vivant se former et apparaître dans la nature ou dans la vie sociale, c'est sa cause, sa raison d'être nécessaire et suffisante ou la conjonction d'un ensemble de causes ou de raison ou de conditions théoriques ou matérielle nécessaires et suffisante pour sa constitution et son apparition quelque part dans ce qui le contient. Mais comme il peut y avoir plusieurs causes pour une chose et que certaines causes agissant ensemble peuvent être de pouvoir différents, d'ancienneté différentes et d'étendue différentes dans les choses et dans le temps et dans l'espace, la philosophie établit une hiérarchie entre les causses, Elle distingue les causes dites premières, des causes dites finales et dons des causes secondaires et intermédiaires. La philosophie en tant que connaissance de la totalité est la connaissance des causes les plus étendues, les plus vastes, les plus générales ou universelles qui se trouvent dans toute chose dont elles seraient la sources. La philosophie n'est pas la connaissance de tous les effets ou de toutes les conséquences possibles, mais celle des causes des conséquences. Elle ne s'occupe pas des faits, mais de ce qui est à l'origine des faits et de plusieurs faits différents en plusieurs aspects mais contenant et se contenant toutes dans la même matrice, dans la même origine. La plus ancienne et la plus étendue de toutes les cause est Dieu ou la Nature. C'est pourquoi les philosophes présocratiques qui s'interrogeaient sur la nature et que l'on appelle physiocrates cherchèrent tous le premier élément qu'ils supposaient devoir être la première structure matérielle ou immatérielle qui contenait toutes les autres parties actuelles du monde et de son devenir.Dans la constitution de l'homme il y a l'œil et il y a une science particulière qui s'occupe de l'œil, une science particulière qui s'occupe de l'oreille et de toutes les autres partie. La philosophie est la science de ce qui contient, du tronc commun à toutes ces parties de l'homme et dont l'existence ne dépend pas de leur association, parce qu'étant posée comme antérieure et nécessaire à l'existence de ces parties. C'est en ce sens qu'Aristote dit que la philosophie est la connaissance de la "totalité" et non des parties de la totalité. Autrement dit encore avec Hegel la philosophie est "La science des science". Elle est la science du premier existant nécessaire aux autres existants particulier. La science de l'être en soi par opposition au paraître sous lequel ou derrière lequel se trouve la chose en elle-même comme le corps est derrière ce qui l'habille. Or ce qui est toujours et partout dans mille et une chose dans des temps et apparaissant à des lieux différents ne peut pas être visible par les sens comme un corps particulier dans d'autre corps. C'est pourquoi aussi la philosophie est la science du nécessaire, de l'essentiel invisible par les sens. Donc la philosophie est l'œuvre de la raison pure, de la raison que les sens et l'expérience sensible dans le monde physique ne peuvent pas conduire à sa destination. C'est pourquoi aussi la philosophie comme le dit le philosophe et ouvrier allemand Joseph Dietzgen, "ne veut pas être une physique, mais une métaphysique"la tous le d'une chose et qui est leur colonne vertébrale

vendredi 13 novembre 2015

PHILOSOPHIE: sujets de dissertation traités par Architectedubien philosolidaire



                            THEME: LA PHILOSOPHIE


 

SUJET: Le philosophe ne s'intéresse pas au monde sensible.

SUJET: Philosopher c'est chercher autre chose que ce qui est déjà présenté ici et maintenant.

SUJET I: La nature a donné un corps à tous les hommes mais pas la faculté de penser

SUJET I: Les différences physiques entre les hommes sont toujours plus importantes que celles qui naissent de la raison

SUJET I: Ce que veut la philosophie c'est supprimer la surprise

SUJET I: La philosophie est assurée de vivre longtemps puisqu'elle ne meurt que là où tout est normal et clair.

SUJET I: La philosophie est l'amour de l'ordre dans la pensée et dans l'action

SUJET: Philosophie c'est apprendre à voir clair dans les choses et dans sa propre intimité

SUJET: A l'origine des conflits dans la vie humaine personnelle et de la vie sociale il y a toujours la raison

SUJET: Ce que je pense de l'intimité des choses ne se trouve pas toujours en elle comme une propriété naturelle

SUJET: Le raison nous trompe plus que les sens parce que l'animal ne fait pas d'erreur sur lui-même ou sur son monde

SUJET: Nous accédons aux ombres des choses avant d'arriver aux choses elles-mêmes

SUJET: Les obstacles qui nous empêchent de voir clair se trouvent plus dans notre intimité que dans les choses ou dans leur environnement

SUJET: La raison va plus loin dans l'intimité des choses mais elle ne peut pas aller loin et sûrement en ignorant totalement les choses et l'expérience

SUJET: Tout ce qui existe est dans quelque chose d'autre qui le contient

SUJET: Le politicien apprend à bien parler comme le philosophe

SUJET: Les choses sont plus claires et plus proches d'elles-mêmes et de la raison dans la nuit que le jour

SUJET: La philosophie ne vient pas avec la vérité mais seulement pour fonder la nécessité de son existence

SUJET: Les gouvernements qui suivent ce que veulent les hommes sont assurés de vivre plus longtemps que ceux qui veulent conduire les hommes sur les chemins de la raison.

SUJET: La philosophie doit aussi distinguer ce que la raison peut atteindre et ce dont elle ne peut pas s'approprier

SUJET: Le philosophe aperçoit la raison mais elle n'atteint jamais son horizon sur terre

SUJET: Pour comprendre la philosophie il chercher à comprendre les origines et les fondements du doute dans les choses ou en nous mêmes.

SUJET: Peut-on douter de tout ?

Nous retrouvons ce sujet et l'introduction ci-dessous proposée dans http://www.philocours.com/

PENSER L'EXISTENCE EFFECTIVE OU POSSIBLE DE L'OBJET SON ETENDUE SES FORMES SON ORIGINE ET SES FONDEMENTS
 
On peut considérer le doute comme inséparable, et même constitutif, de toute véritable entreprise philosophique. De Socrate à Descartes, en passant par les sceptiques, en effet, on retrouve ce doute.
Chez Socrate, le doute est synonyme de critique et de remise en cause de tout ce qui présente comme savoir (définitif). Chez les sceptiques, le doute est une attitude de suspens : on dit que, étant donné la nature (précaire) de l'homme, on ne peut rien affirmer avec certitude, mais qu'on doit au contraire douter de tout. Chez Descartes, on retrouve le même doute radical que chez les sceptiques, mais, avec un mélange du doute socratique : le doute radical sert à ne pas être dupe des opinions ou des faux savoirs; c'est une méthode qui sert à nous purger de nos illusions, et à atteindre la vérité, sans se précipiter.

PENSER LA VALEUR POSITIVE OU NEGATIVE DE L'OBJET
 
Mais si le doute nous est présenté comme attitude philosophique par excellence, est-il quelque chose de si positif? La question même de savoir si on peut douter de tout semble entraîner un doute quant à la valeur même du doute.

PENSER A CE QUI EST POSE AVANT LE SUJET ET QUI LUI SERT DE SUPPORT OU DE SOURCE THEORIQUE OU HISTORIQUE

La question semble en effet présupposer qu'il est peut-être exagéré de douter de tout : peut-être une vie humaine n'est-elle pas possible si on se met réellement, dans la vie quotidienne, à douter de tout, car ce serait rester en suspens (cf. étymologie du mot) et donc à la limite se laisser mourir.
En tout cas, se demander si "on peut" douter de tout, c'est sous-entendre que douter de tout est quelque chose qui ne va pas de soi, qui pose problème : que, si ce n'est pas impossible, ce sera au moins difficile.
Il faut donc se demander s'il y a des limites au doute, et cela, au sens à la fois théorique, moral, et politique.


 CONSEQUENCES DES PRESUPPOSES OU REFORMULATION DE LA QUESTION INITIALE REFORMULATION DU PROBLEME EN FAISANT APPARÏTRE CE QU'IL NE DIT PAS DIRECTEMENT ET LES LIENS DE L'OBJET OU DU THEME AVEC D'AUTRES
 
Ce qui reviendra à se demander jusqu'où va la liberté de penser (d'abord au sens théorique, ie, au sens où elle n'entraîne aucune conséquence pratique sur la vie des gens), et aussi, au sens pratique, ie, au sens où cette fois notre doute a des conséquences sur notre conduite et peut-être la société toute entière.
Bref le doute : attitude positive, ou négative? Est-il seulement une attitude théorique, n'ayant de conséquences que pour la cohérence de la pensée avec elle-même, ou bien est-ce une attitude qui a des conséquences pratiques? (selon la réponse, on répond à première question différemment)

 
Bref : le problème posé par le sujet est double. D'abord, il pose le problème de savoir s'il existe des connaissances indubitables. Ensuite, il pose le problème de la liberté, à la fois intellectuelle et politique, de l'homme.
SUJET: Le plus grand nombre des opinions donne-t-il toujours la vérité ou la meilleure mesure?
SUJET: Pourquoi l'homme devrait-il nécessairement douter?
SUJET: Peut-on toujours déterminer ce qui évidemment vrai ou faux par les faits ou par la raison?
 

 

                                Qu'en pensez-vous?

Méthodologie de la Dissertation en philosophie par l'exemple/ Sujet: La philosophie nous invite à rechercher ce qui n'est pas immédiatement détecté et qui est essentiel pour expliquer ou comprendre le pourquoi et le comment des choses

SUJET: La philosophie nous invite à rechercher ce qui n'est pas immédiatement détecté et qui est essentiel pour expliquer ou comprendre le pourquoi et le comment des choses.

                                                 QU'EN PENSEZ-VOUS?


V.SYNTHESE PROPOSER UNE INTRODUCTION

Ainsi donc pour la philosophie, d'après la présentation ou l'indication que le sujet nous donne des caractéristiques de son existence et de son identité en tant qu'activité, tout ce qui fait partie de la composition ou du comportement ou de manifestations de l'existence d'une chose ou d'un être vivant au sein de la nature ou parmi les hommes ne permettrait pas d'en donner une explication ou une compréhension satisfaisante pour l'esprit ou pour la raison cherchant à guidée une action pratique. Autrement dit, il y aurait pour toutes choses ou pour certaines choses et êtres vivants, des caractères, des manifestations ou des propriétés secondaires que l'on découvre dès notre premier contact par les sens ou par l'esprit, et d'autres paramètres qui sont plus difficiles à atteindre parce qu'appartenant à un temps et à un lieu qui ne sont pas ceux de ses manifestations les plus extérieures et les plus faciles à observer. Autrement dit encore, les choses et les êtres de l'existence seraient à la fois clairs et obscurs, apparentes et cachés aux sens ou à l'esprit. Cette conception de l'existence en général n'est pas étrangère à la réalité sous notre expérience quotidienne dans la pensée et dans l'action, dans le monde des Idées ou des Concepts ou dans le monde concret. Coupons en effet les racines de cet arbre et couper les branches ou même le tronc de cet autre arbre dans le même milieu et côte à côte et du même âge: nous verrions par la suite combien les racines de l'arbre qui sont cachés sont vitales pour tout le reste de son corps. D'autre part, ne voyons nous pas qu'en classe que les élèves qui gagnent le maximum de points dans les divers exercices théoriques et pratiques sont toujours ceux qui parviennent à voir les solutions les solutions cachées des questions les plus difficiles? Dès lors, comment ne pas considérer que la tâche et l'invitation de la philosophie sont fondées dans les faits de l'existence? Comprendre une chose ou pouvoir en donnant une explication objective ou subjective, en mettant en évidence une cause, une raison ou un ensemble de conditions nécessaire de sa constitution c'est d'une certaine manière s'approprier de son existence. Or tout ce qui est dans le monde est à la recherche de quelque chose. L'appropriation d'une chose suppose d'abord la possibilité de la voir et son étendue dans le temps et dans l'espace dépend du lieu où on la tient. L'invitation lancée par les philosophes et consistant à chercher à rendre les choses et les êtres et leur environnement plus clair pour s'en approprier est une invitations qui concerne tout le monde. C'est cet enjeu qui explique le développement actuel de la science. Cette tâche, cette attitude en face de l'existence a toujours était utile, mais aujourd'hui elle est d'une importance particulière dans un monde où la falsification et les apparences brillent attirent les sens et les esprits des hommes.Pourquoi la nature ou les humains cachent-ils ou se cachent volontairement ou certains de leur aspects généralement essentiel? Pour vivre heureux est-il nécessaire de se cacher? Qu'est-ce qui dans l'existence des choses est caché et serait essentiel à découvrir? S'agirait-il de trouver les origines, les sens, les conséquences, les formes, les valeurs? Qu'est-ce qui cache ce qui faisant partie de l'existence ne se présenterait pas sans déshabillement? Les voiles, les écrans, les obscurités, les obstacles qui empêcherait les choses et les êtres de l'existence de se voir eux-mêmes et de voir les autres dans leurs réseaux relationnels dans ce qu'ils auraient de fondamental pour les produire ou pour les détruire ou pour les conserver seraient -ils dans la constitution naturelle ou artificielle des choses et des êtres, des obstacles extérieurs ou des obstacles internes comme dans les "obstacles épistémologiques" de Gaston Bachelard? Devrions nous utiliser les sens ou la raison pure ou atteler ces deux témoins de l'existence pour rechercher et espérer trouver ce qu'il est nécessaire de retrouver pour se comprendre, pour comprendre autrui et le monde ou une portion de son étendue? Sommes nous toujours individuellement et collectivement pour entreprendre avec succès la recherche de l'essentiel non immédiatement accessible à nos sens ou à notre esprit? Mais aussi, sommes nous sûrs que partout ce qui n'apparaît pas de l'existence d'une chose dès les premiers moments de sa présentation est nécessaire pour la comprendre ou pour l'expliquer ou au moins pour dire d'elle quelque chose qui n'est pas étrangère à l'histoire de son existence et à son intimité?





N.B. Dans un monde où tout est soumis à la loi de la relativité, aucun juge raisonnable ne prétendrait dire la totalité du possible à voir dans l'existence d'un roseau ou d'un ver de terre; il existera toujours dans le monde le plus transparent, dans la mesure subjective philosophique comme dans celle objective de la science, une composantes qui est non intégrée et qui peut entrer dans sa constitution. La reconnaissance de la relativité généralisée ou localisée signifie aussi que la même chose peut être décrite, expliquée, comprise, représentée, interprétée, dessinée de plusieurs manières acceptables au tribunal de la Raison et chaque manière de faire ou chaque technique peut trouver son efficacité et la perdre selon les circonstances et les manières de son application. Cette dissertation n'est donc qu'une manière particulière que je crois acceptable pour traiter le SUJET proposé.

                                  PREMIERE ETAPE DU TRAITEMENT DU SUJET ANALYSE

I. EXPLIQUER LE SUJET COMME dans l'activité et dans les préoccupations fondamentales de LA PHILOSOPHIE la recherche du SENS ou des SIGNIFICATIONS possibles acceptables des choses et des êtres de l'existence et de leurs comportements et d'autres aspect, cherchons ce que peut vouloir dire le sujet et essayons de le représenter de la manière la plus claire possible à notre portée
1. LES MOTS
Dans l'espace des choses et des êtres de l'existence dont les uns sont physiques et les autres métaphysiques, concrets et abstraits, théoriques et pratiques, naturelles et artificiellement produites par l'homme, " ce qui n'est pas immédiatement détecté", c'est ce qui en dehors de l'intimité des sens ou dehors de l'intimité de la raison. Ce qui est en dehors des sens ou de la raison n'existe pas pour les sens ou pour la raison en tant que témoin du monde, parce que pour les latins, exister, c'est sortir de quelque chose et dans Le Larousse les français conçoivent l'existence comme la présence de quelque chose dans quelque chose. Pour exister donc de fait ou en droit, il faut nécessairement entrer dans les sens ou dans la raison et y occuper une certaine place, petite ou grande et les caractéristiques de ce qui contient et de ce qui est contenu.  En sciences sociales, notamment cher Emile Durkheim et chez Max Weber, on oppose l' "explication" de la réalité à la "compréhension" de la même réalité. En général, l'explication est plus rigide, moins ouverte que la compréhension. Nous entendons rarement le médecin expliquer le fonctionnement d'un organe en opposition avec un autre médecin, même sortant de différentes école. De même on entend et on voit rarement deux géomètres concevoir, dessiner, représenter mentalement et concrètement le même triangle. L'explication s'applique à des choses et à des êtres naturels ou artificiels immobiles, dépouillés de toute différence dans le même ensemble par rapport à l'essentiel du tronc commun de l'ensemble. On explique pas un crime en tant qu'il est une œuvre humaine personnelle ou collective comme toutes les œuvres. En un mot, l'humain se comprend subjectivement de l'intérieur de son intimité qui n'est jamais totalement identique d'un sujet à l'autre et qui varie dans le même sujet puisque chez les humains, les alliés d'aujourd'hui préparent leurs conflits et leur séparation dans un futur proche ou éloigné de leur devenir ou se rapprochent pour reconsidérer leur passé. Lorsque la déesse de la nécessité est absente dans la nature ou parmi les hommes, rien ne peut se produire  dans l'activité de la pensée ou dans celle du corps. Il n'est pas nécessaire de mettre des épices dans la composition d'une sauce de couscous pour qu'elle soit agréable pour quelque hommes ou pour tous, puisque malgré les distances qui les séparent dans la nature et dans l'histoire par les forces positives et négatives de leurs cultures et de leur éducation en divers domaines où les compétences ne sont pas naturelles, les humains peuvent arriver au même point, à la même conclusion, à la même vérité, à la même décision sans aucune concertation préalable. Ce qui est nécessaire, c'est ce qui essentiel, comme le carburant est nécessaire à l'activité de tout moteur.
2. LE SENS GENERAL A LA SUITE DE CES PREMIERES CONSIDERATIONS SUR LES TERMES DE NOTRE SUJET, il nous semble que la thèse soutenue par notre sujet consiste à dire que le rôle de la philosophie et l'activité du philosophe qui en est l'agent et leur invitation qui nous est lancée nous appelle à ne pas s'arrêter à ce qui est tout de suite présenté de l'existence d'une chose ou d'un être quelconque, à ce que tout le monde ayant le minimum de pouvoir dans sa sensibilité et dans son intelligence peut voir, sentir, penser, comprendre ou expliquer en donner sa cause ou au moins quelques unes de ses raisons d'être nécessaires, même si ces dernières ne sont pas suffisantes pour prétendre saisir l'intégralité, la totalité de ce réel, pour espérer ou prétendre s'en approprier de manière relativement sûre par la pensée ou par l'action, puisque comprendre ou pouvoir expliquer c'est s'approprier par la pensée qui peut déboucher une action concrète ou non.
. Telle est notre COMPREHENSION DU SENS GENERAL DE NOTRE SUJET

II. AMENER OU INDIQUER QUELQUE ORIGINE POUVANT FONDER L'EXISTENCE DU SUJET PAR EXEMPLE UN PRESUPPOSE THEORIQUE OU UN FAIT D'EXPERIENCE Comme toute chose a une ou plusieurs origine qu'elle tient de plusieurs sources, causes, raisons, conditions ou facteurs croisées volontairement ou accidentellement et COMME LA PHILOSOPHIE accorde une importance particulière à la recherche des origines, des causes, des raisons d'être nécessaires et suffisantes, des fondements, des causes les plus générales et constantes à défaut d'être universelles, cherchons qu'elle peut être l'origine rationnelle et logique ou empirique et historique ou encore expérimentale de l'opinion, du jugement, de la proposition, de l'affirmation qui constitue le point de départ de notre réflexion.
1. ORIGINE THEORIQUE RATIONNEL UNE LOI UNE DEFINITION OU ORIGINE EMPIRIQUE Ce que les hommes affirment de l'existence vient de leur expérience ou alors de leur raison pure, de principes rationnels supposé nécessaires et évidents et non démontrables ou décomposables parce que simples et que l'on appelle axiome. L'opinion qui constitue notre sujet peut bien avoir ses origines dans l'expérience, parce que tout le monde sait comme René Descartes, que nous ne voyons pas toujours immédiatement les racines d'un arbre au même instant que son tronc se dresse devant nous avec tout le reste des subdivision de cette œuvre de la nature. Or coupons et les racines de cet arbre et de cet autre de la même espèce coupons toutes les branches ou même le tronc. Nous verrons sans aucun maître que les racine sont les fondements intérieurs, les origines cachés de tout ce que reste de l'arbre. Ce n'est pas seulement dans l'arbre qui cache ce qu'il a d'essentiel comme pour l'éloigner des menaces de son monde extérieurs. On entend souvent dire, "vivons cachés pour vivre heureux".
2.  REPRODUIRE LE SUJET AVEC OU SANS TRANSFORMATION
On comprend donc que l'opinion selon laquelle la philosophie cherche ce qui est caché par la nature ou par les hommes dans l'existence des choses pour arriver à s'approprier de leur existence de la manière la plus sûre et la plus étendue dans le temps et dans l'espace par la pensée puisse être considérée comme une opinion droite parce que fondée dans les faits et en général, ce qui est fondé dans les faits de manière étendue est pareillement fondé en droit dans la raison.
III. IMPORTANCE ET ENJEU DE L'INVITATION OU DU VOIR CLAIR EN SOI ET DANS LE MONDE EXTERIEUR ET POURQUOI IL EST UTILE DE REPONDRE FAVORABLEMENT A L'INVITATION SON ACTUALITE
Les élèves qui gagnent le maximum de points dans la totalité possible dans un exercice théorique dans les science ou dans les lettres ou ailleurs, sont toujours ce qui voient plus que d'autres ne voient pas dans les données de départ de leur recherche, ceux qui savent faire plus que les autres. Tout ce qui existe donc n'est pas vu et en général les questions qui sont les plus notées sont les plus importantes, les plus profondes, les plus difficiles à résoudre dans un ensemble et il est quelquefois essentiel de voir quelque chose dans ces questions pour espérer avoir la moyenne ou plus. Plus donc on voit dans le monde, plus nous avons de chance de gagner et d'atteindre la fin que nous poursuivons individuellement ou collectivement. Chaque chose et chaque être au monde cherche à s'approprier de quelque chose, soit de sa propre existence, soit de quelque chose en dehors de son intimité dans son environnement. Comprendre ou pouvoir expliquer c'est s'approprier de l'existence de ce qui est objectivement ou subjectivement considéré. L'appropriation d'une chose quelconque dépend de la manière et de lieu, du point d'impact ou de l'ensemble des points d'appui par lesquels nous la tenons, la saisissons, la capturons, la maîtrisons par l'action concrète ou par une certaine mesure théorique. On comprend donc pourquoi la philosophie chercherait à atteindre les choses et les êtres dans leurs origines, dans les conditions nécessaires à leur formation et à leur développement par la pensée et pourquoi nous aurions bien intérêt à s'évertuer à répondre favorablement à son invitation, puisque philosopher c'est apprendre à voir toujours plus clair dans son monde extérieur et dans sa propre intimité pour s'approprier de sa propre existence et pour ensuite en suivant Socrate, espérer s'approprier de quelque autre composante du monde au sein de la nature et parmi les hommes C'est pourquoi la science qui est le regard le plus clair et le plus sûr des regards posés sur la réalité est d'une importance capitale pour espérer atteindre sa fin individuelle ou collective.
IV. LES QUESTIONS COMMENT ARRIVER A VOIR CLAIR POUR S'APPROPRIER DE SON EXISTENCE ET DE QUELQUE AUTRE EXISTENCE DU MONDE
Pourquoi les choses sont-elles cachées ou certains des aspects de leur existence pas immédiatement accessibles aux sens ou à la raison. Où se cacherait ce qui ferait partie de l'existence et qui lui serait essentiel pour se constituer, pour apparaitre dans le devenir? Qu'est-ce qui dans leur séparation de notre première observation les sépare de nous, de notre esprit et de nos?  Qu'est-ce qui dans l'existence d'une chose ou d'un être sensible ou intelligible peut être caché volontairement ou involontairement, par la nature ou par l'histoire, par l'habitude, par l'éducation, par la corruption dans le mouvement et les frottements et la contamination, les gains et les pertes des choses et des êtres dans leurs interactions au sein de leurs réseaux relationnels? Qu'est-ce qui cache les choses et les êtres de l'existence déjà constitués ou qui peuvent encore se constituer et ces obstacles se trouveraient ils dans les choses et dans les êtres ou en dehors de leurs intimités dans leur environnement? Comment arriver à atteindre par la pensée l'essentiel qui est caché? Faut-il utiliser l'expérience ou la raison pure ou associer ces deux témoins de l'existence pour entreprendre la recherche du nécessaire, de l'essentiel ou encore du vital dans la constitution des choses et des êtres de l'existence? Mais aussi, sommes sûrs que ce qui n'apparait pas dans l'existence d'une chose de manière immédiate, dès les premiers instants de notre rencontre par les sens ou par la raison est toujours essentiel et mérite d'être recherché et sommes nous toujours bien armés et sûrs de pouvoir atteindre l'essentiel caché et la philosophie est-elle l'intelligence qualifiée et indiquée et la seule pour entreprendre cette recherche ou aider à prendre les chemins des chercheurs qui veulent savoir pour savoir ou pour agir?


                             V.SYNTHESE PROPOSER UNE INTRODUCTION

Ainsi donc pour la philosophie, d'après la présentation ou l'indication que le sujet nous donne des caractéristiques de son existence et de son identité en tant qu'activité, tout ce qui fait partie de la composition ou du comportement ou de manifestations de l'existence d'une chose ou d'un être vivant au sein de la nature ou parmi les hommes ne permettrait pas d'en donner une explication ou une compréhension satisfaisante pour l'esprit ou pour la raison cherchant à guidée une action pratique. Autrement dit, il y aurait pour toutes choses ou pour certaines choses et êtres vivants, des caractères, des manifestations ou des propriétés secondaires que l'on découvre dès notre premier contact par les sens ou par l'esprit, et d'autres paramètres qui sont plus difficiles à atteindre parce qu'appartenant à un temps et à un lieu qui ne sont pas ceux de ses manifestations les plus extérieures et les plus faciles à observer. Autrement dit encore, les choses et les êtres de l'existence seraient à la fois clairs et obscurs, apparentes et cachés aux sens ou à l'esprit. Cette conception de l'existence en général n'est pas étrangère à la réalité sous notre expérience quotidienne dans la pensée et dans l'action, dans le monde des Idées ou des Concepts ou dans le monde concret. Coupons en effet les racines de cet arbre et couper les branches ou même le tronc de cet autre arbre dans le même milieu et côte à côte et du même âge: nous verrions par la suite combien les racines de l'arbre qui sont cachés sont vitales pour tout le reste de son corps. D'autre part, ne voyons nous pas qu'en classe que les élèves qui gagnent le maximum de points dans les divers exercices théoriques et pratiques sont toujours ceux qui parviennent à voir les solutions les solutions cachées des questions les plus difficiles? Dès lors, comment ne pas considérer que la tâche et l'invitation de la philosophie sont fondées dans les faits de l'existence? Comprendre une chose ou pouvoir en donnant une explication objective ou subjective, en mettant en évidence une cause, une raison ou un ensemble de conditions nécessaire de sa constitution c'est d'une certaine manière s'approprier de son existence. Or tout ce qui est dans le monde est à la recherche de quelque chose. L'appropriation d'une chose suppose d'abord la possibilité de la voir et son étendue dans le temps et dans l'espace dépend du lieu où on la tient. L'invitation lancée par les philosophes et consistant à chercher à rendre les choses et les êtres et leur environnement plus clair pour s'en approprier est une invitations qui concerne tout le monde. C'est cet enjeu qui explique le développement actuel de la science. Cette tâche, cette attitude en face de l'existence a toujours était utile, mais aujourd'hui elle est d'une importance particulière dans un monde où la falsification et les apparences brillent attirent les sens et les esprits des hommes.Pourquoi la nature ou les humains cachent-ils ou se cachent volontairement ou certains de leur aspects généralement essentiel? Pour vivre heureux est-il nécessaire de se cacher? Qu'est-ce qui dans l'existence des choses est caché et serait essentiel à découvrir? S'agirait-il de trouver les origines, les sens, les conséquences, les formes, les valeurs? Qu'est-ce qui cache ce qui faisant partie de l'existence ne se présenterait pas sans déshabillement? Les voiles, les écrans, les obscurités, les obstacles qui empêcherait les choses et les êtres de l'existence de se voir eux-mêmes et de voir les autres dans leurs réseaux relationnels dans ce qu'ils auraient de fondamental pour les produire ou pour les détruire ou pour les conserver seraient -ils dans la constitution naturelle ou artificielle des choses et des êtres, des obstacles extérieurs ou des obstacles internes comme dans les "obstacles épistémologiques" de Gaston Bachelard? Devrions nous utiliser les sens ou la raison pure ou atteler ces deux témoins de l'existence pour rechercher et espérer trouver ce qu'il est nécessaire de retrouver pour se comprendre, pour comprendre autrui et le monde ou une portion de son étendue? Sommes nous toujours individuellement et collectivement pour entreprendre avec succès la recherche de l'essentiel non immédiatement accessible à nos sens ou à notre esprit? Mais aussi, sommes nous sûrs que partout ce qui n'apparaît pas de l'existence d'une chose dès les premiers moments de sa présentation est nécessaire pour la comprendre ou pour l'expliquer ou au moins pour dire d'elle quelque chose qui n'est pas étrangère à l'histoire de son existence et à son intimité?


dimanche 8 novembre 2015

De ces leçons des Anciens sur la nature et sur l'homme que je ne comprends pas encore et d'UNE THEORIE que je ne parviens pas à VOIR

Je respecte beaucoup les religions communément dites révélées et je crois sincèrement qu'elles parlent de Dieu et conduisent vers Dieu, mais je fais confiance aux Anciens que j'ai croisés en plusieurs de leurs chemins pleines de sagesse dont je cherche encore à comprendre les leçons dans la partie physique et dans la partie métaphysique du monde.


1. La nuit des trois lunes
2. Le soleil vertical de la nuit
3. L'homme qui sort du canari dans la nuit
4. L'homme qui se réveille dans le ventre de la montagne et qui sort vers le monde extérieur
5. De la valeur de l'Ecriture selon ses caractéristiques et ses lieu et de l'écart entre deux lieux
6. Du chemin de l'enveloppe et de celui de l'homme qui se séparent et se retrouvent
7.Comment déterminer E par ses deux composantes
8. De l'entier naturel qui se divise dans la nuit en deux parties mobiles
9.Du voyageur des deux matin vu depuis la montagne à la porte de la caverne dans le ciel
10.Du rapport entre celui de l'intérieur et celui de l'extérieur
11.Que l'Existant et de son mouvement à ses extrémités
12.La nuit de la course des charriots
13.De la barre qu'il faut actionner quand le flux de l'autre lumière est coupé
14.De l'homme qui tient le chapelets des perles entre le ciel et la terre dans sa bulle transparente et du voyageur et comment entrer et de celui à qui appartient la perle indiquée
15.De l'homme de la baguette qui ouvre le corps du mort et de l'autre corps du mort qui revient vers ses reliques dans son tombeau
16. De la déviation du voyageur qui ne sait pas lire la lettre du voyageur dans son dos
17. De la porte de l'espace entre les deux immeubles et du couple des deux occupants des deux immeubles et du carré de la course et du non partant
18. De celui qui brise le bâton et de celui qui ouvre le ciel vers l'est dans la nuit
19. De la Pomme
20. De Dieu
21. De celui qui en ces lieux voit tout ce qui passe par le haut dans le ciel et sur la terre et qui n'est pas Dieu
22. De la Lettre de la Langue d'un des sages de Pagaal
23. Des deux chiffres dont l'un est sur l'autre comme un enfant sur le dos de sa mère
24. Un prénom, un humain et son enfant
25. Tig ou Quelque qui peut ou porte sorte sur son dos ( Tig a waxac)
26. Du cahier des sept qui composent
27. Des deux hommes près du feu du matin et de la déviation du charriot qui fait demi tour
27. Du pied dans la roue de Véro
28. Du retour de la saison passée
29. De l'homme les reins du corps extérieur sous les eaux du fleuve Pagaal
30. On ne peut pas déterminer la longueur d'un serpent qui est en train de sortir de son ventre
31. Du nombre à partir duquel le mobile tourne vers la mer(e)
32. Qu'il faut ajouter 10 selon le jour
33. De la vache et du taureau face à l'ouest le soir
34. Du réveil de celui qui compte en dormant
35. De celui qui parcourt celui qui dort
36. De la position de l'un des membres du tronc commun qui empêche la levée du corps
37. Du voyageurs entre deux feux au centre et à l'ouest et des mots pour éteindre le feu dans le mil
38. Du feux qui passe de l'arbre mort et qui entre dans l'arbre vivant et le dessèche
39. De l'homme noir qui se déshabille et qui devient blanc ou rouge pour aller en voyage
40. De l'homme au-dessus du toit
41. Du lit qui tourne sur la terre
42. De la barre entre ceux du haut et ceux d'en bas sur la terre
43. Le nom de l'enfant attendu est celui Du cheval du messager du couple
44. De ce que celui de l'intérieur peut voir
42. C'EST UNE THEORIE






jeudi 29 octobre 2015

LA PHILOSOPHIE: QU'EST-CE QUE C'EST ET COMMENT ARRIVER A UNE OU PLUSIEURS REPONSES ACCEPTABLES

                                      ENQUETE ET QUESTION SUR LA PHILOSOPHIE                  

                                                          PREMIERE PARTIE:
 QUESTCE QUE CEST LA PHILOSOPHIE ET COMMENT ARRIVER A UNE DEFINITION UNIVERSELLE OU A DES INDICATIONS SIGNIFICATIVES PERMETTANT DE NE PAS LA CONFONDRE AVEC CE QU'ELLE N'EST PAS EN LUI DONNANT DES ATTRIBUTS CONSTITUTIFS OU FONCTIONNELS QUI NE LUI SONT PAS PROPRES
                                                            CHAPITRE I
QU'EST CE QUE C'EST UNE DEFINITION ET QU'EST-CE QUI DANS L'EXISTENCE D'UNE CHOSE PERMET DE LA DEFINIR ET A QUOI SERT UNE DEFINITION NECESSITE ACCIDENT ESSENCE NATURE ACCIDENT CONTINGENCE HASARD
                                                           CHAPITRE
DES INDICATIONS QUI PEUVENT SE CONTENIR DANS UNE DEFINITION
LA NATION DE CAUSE DE RAISON D'ETRE DE CONDITION NECESSAIRE ET SUFFISANTES DEFINITION PAR CAUSE MATERIELLE CAUSE FORMELLE CAUSE EFFICIENTE OU MOTRICE
                                                            CHAPITRE

LA RECHERCHE DES ORIGINES UN MOYEN POUR ARRIVER A UNE DEFINITION OU A UNE COMPREHENSION DE L'EXISTENCE ET CE QUE PEUT SIGNIFIER LE MOT ORIGINE ET DES DIVERSES ORIGINES ORIGINE COMME CE QUI PRODUIT ET DONC CAUSE MATERIELLE COMPOSITION CE QUI PRODUIT COMME RESULTAT OU BUT OU FINALITE POURSUIVIS ET ATTENDUE ET ETUDE DES CONDITIONS DU CONTEXTE DES CARACTERISTIQUES DU MILIEU DE FORMATION DE LA CHOSE EN SUPPOSANT QUE TOUT CE QUI EST PRODUIT DANS L'EXISTENCE PAR LA NATURE OU PAR L'HOMME EST PRODUIT POUR ENTRER DANS LA PRODUCTION DE QUELQUE CHOSE D'AUTRE OU CONTRIBUE A ATTEINDRE QUELQUE CHOSE QUI N'EXISTE PAS ENCORE

                                                                 CHAPITRE
DE LA CONNAISSANCE DES MANIERES DE CONNAITRE DES SAVOIRS CONSTITUES AVANT LA PHILOSOPHIE AVEC LE MYTHE LA RELIGION LA MAGIE LES SOPHISTES ET LE DISCOURS POLITIQUE OU POETIQUE DE LEURS ORIGINES DE LEUR FORME DE LEUR VALEURS THEORIQUES ET PAR RAPPORT A LA REALITE SUR LAQUELLE ILS S'APPLIQUE ET DE CE QUI FERAIT DEFAUT A CES CONNAISSANCE FRAGMENTAIRES ISOLEES CONNAISSANCE DU PARTICULIER DE L'ACCIDENTEL DE LA CONSEQUENCE ET NON DE LA CAUSE GENERALE PROBLEME DE GENERALISATION ETRE COMMENT CORRIGER REJETER NIER OU RELATIVISER CE QUI EST DEJA CONSTITUE DE LA RAISON ET DES DETENTEURS DU SAVOIRS AVANT LA PHILOSOPHIE ET DE LA SOURCE DU SAVOIR AVANT L'AFFIRMATION DE LA RAISON HUMAINE COMME MOYEN POUR ARRIVER L'OEUVRE DE LA RAISON DANS LA NATURE ET PARMI LES HOMMES





  DES ORIGINES DE LA PHILOSOPHIE
                                                            POUR
COMPRENDRE CE QU'ELLE EST SA MISSION SON CHEMIN SON MOYEN DE LOCOMOTION ET SA MANIERE DE MARCHER POUR ARRIVER OU POUR SE RAPPROCHER DE SA FIN THEORIQUE ET PRATIQUE CE QUI FAIT SA SPECIFICITE COMPARATIVEMENT AUX AUTRES ACTIVITES HUMAINES INTELLECTUELLES ET PRATIQUES QUI CHERCHENT A CONDUIRE LES HOMMES VERS LES VRAIES MESURES DES CHOSES EN ELLES MEMES OU DANS LEUR INTIMITE OU LES VERITE QU'ELLES CONTIENNENT ET CELLES QUI LEUR DONNENT NAISSANCE POUR COMPRENDRE SES RAPPORTS THEORIQUES ET PRATIQUES AVEC LA REALITE A EXPLIQUER OU A COMPRENDRE ET A TRANSFORMER OU A LAQUELLE IL FAUT S'ADAPTER EN SE MODIFANT SOI-MEME DANS SA MANIERE DE PENSER ET DE VIVRE....
 PLAN


I. Du besoin de savoir, de connaître la vérité comme besoin fondamental qui sépare l'existence humaine de l'existence animale et de l'universalité de l'éducation, de l'enseignement et de l'école dans les sociétés anciennes et modernes et de la nécessité de la vérité comme guide, comme fondement de la pensée et de l'action personnelle et de l'action sociale. Jean Ulmo " La notion de vérité est au fondement de la vie personnelle et de la vie sociale de l'homme" Aucun animal ne se demande ce qu'il doit faire dans les situation au sein desquels il se retrouve dans le monde. Aucun animal n'invente de solution qui lui serait exclusive pour répondre aux problèmes de son existence. L'animal sait tout ce qu'il doit savoir et sait faire tout ce qui lui est nécessaire pour survivre.

II. Tous les enseignants de tous les niveaux et dans toutes les institutions parlant du monde et de l'homme dans leur composition, dans leur origines, dans leurs propriétés naturelles ou dans leurs caractères acquis, son fixés sur une même colonne vertébrale et appartiennent à une même famille, à une même classe, à un même ensemble que l'on appelle Ensemble des connaissances, des savoirs, des savoirs faire et des savoir être. Chaque enseignants qui officie dans la rue ou à huis clos dans une institution est porteur d'un saveur, d'une vérité, d'une mesure qui permettrait d'expliquer ou de comprendre ou d'agir sur la totalité du réel ou sur une portion du réel, ou alors prétend être porteur d'un certain savoir.




III. Il y a donc plusieurs savoirs parce qu'à l'école, il y a plusieurs enseignants, plusieurs instituteurs au sens primitif du mot qui désigne l'activité d'une femme ou d'un homme dont la  fonction principale est de transmettre un savoir, une vérité ou une contre vérité, une mesure, une loi, une règle pour diriger la pensée ou l'action individuelle ou l'action sociale collective, ou dont la fonction est de penser et d'agir ou d'apprendre à penser ou agir en vertu d'une certaine norme ou vérité ou pour arriver à une certaine vérité dont on suppose quelque importance individuelle ou collective.
III; Chaque élève peut constater que les enseignements du professeur de mathématiques ne sont pas ceux du professeur de biologie ou de sciences physiques, comme les séances d'éducation physique et sportive ne sont pas ceux des cours d'éducation artistiques ou de construction mécanique





IV. Comment arriver à établir des différences significatives et des dénominateurs communs entre les différents savoirs ou connaissances qui sont déjà constitués parmi les hommes? Quelles peuvent être les origines des savoirs, des vérités, des mesures, des valeurs que les hommes donnent aux choses et aux êtres vivants ou non vivants, naturels ou artificiels qui composent l'existence? Quels sont les moyens utilisés? Quels sont les choses et les êtres qui peuvent être connus, dont on peut connaître les mesures naturelles ou les mesures qu'ils doivent avoir s'ils sont créés par l'homme? Quelles méthodes ou démarches les hommes mettent-ils en œuvre pour découvrir ou pour construire les vérités ou les mesures qu'ils donnent aux choses et aux êtres vivants sensibles et intelligents? Les vérités que les hommes déclarent ou nient dans les divers domaines supposés contenir des réalités mesurables sont- elles des vérités matérielles, des vérités de fait, des vérités historiques, des vérités empiriques, des vérités issues de l'expériences et expérimentables ou applicables au réel ou plutôt des vérités formelles c'est-à-dire logiques qui se constituent par une certaines cohérence? Toutes les vérités sont- elles des vérités objectives ou des vérités subjectives, des vérités universelles, générales ou particulières, des vérités qui sont partout et toujours valables ou des vérités qui sont propres à un temps et à une époque ou à des choses ou à des êtres vivants particuliers dans une classe déterminée que pour expliquer, des vérités une fois et définitivement établies ou des vérités partielles qui peuvent être améliorée, étendue ou réfutées? Tous les savoirs, toutes les formes de connaissances sont-ils constitués dans la matrice de la rationalité et contiennent-ils le même degré de rationalité?Toutes les connaissances, tous les savoirs peuvent-ils être enseignés à tout le monde?Tous les vérités des savoirs ont -elles le même pouvoir et la même efficacité théorique ou pratiques pour comprendre ou pour transformer la réalité naturelle et sociale en s'y appliquant? Les vérités que les hommes déclarent. Toutes les activités théoriques ou pratiques qui cherchent à comprendre le réel ou à l'expliquer visent-elles la même finalité, le même but? Tous ceux qui savent ou qui cherchent à savoir et qui appliquent leurs savoirs, sont-ils tous obligés ou choisissent-ils tous de se conduire selon les vérités qu'ils ont découvertes dans la nature ou dans la culture ou de se conduire d'une certaine manière pour arriver à leur fin ou plus clairement le physicien et le philosophe sont-ils obligé de vivre selon les lois de la nature, les lois humaines et sociales qu'ils ont trouvée déjà posées ou qu'ils ont découvert eux-mêmes? Y'aurait-ils des savoirs ou des connaissances ou des formes de connaissances plus anciennes que d'autres, des vérités plus anciennes que d'autres et plus vastes et qui les contiennent et leur donnent naissance ou qui leur sont nécessaire pour voir le jour et cette étendue dans le temps ou dans les propriétés des choses et des êtres permettrait-elle de faire une hiérarchie des connaissance, une généalogie des formes de la connaissance et des vérités?




V Des caractéristiques générales de la philosophie pour la rapprocher de ce qu'elle est ou devrait être ou de ce qu'elle n'est, ne devrait pas être ou ne sera jamais et n'a jamais été dans son histoire selon son étymologie, selon les activités de ses fondateurs et de ceux qui la pratiquent encore aujourd'hui, selon la manière de vivre des philosophes, et étant entendu qu'en philosophie il est question de connaissance, de savoir, de vérité dans la théorie ou dans la pratique puisqu'il est question de sagesse et la sagesse est inséparable du savoir,  selon les critères ci-dessus (III) permettant de faire l'analyse d'un système de production de mesures, de savoirs, de connaissances et de vérités théoriques ou pratiques?
Caractéristiques à rechercher dans ses origines
1. Ce que peut signifier le mot origine
2. L'origine du mot
3. De l'origine comme lieu de naissance, temps de naissance
4. De l'origine comme conditions nécessaires et suffisantes, raison d'être nécessaire et suffisantes, comme contexte, et des facteurs favorisant, de l'origine comme la cause qui produit, comme la source, la matrice visible ou invisible de laquelle jaillit vers l'extérieur ce qui arrive dans l'existence ET donc rechercher caractéristiques dans les conditions d'existence dans les cités où apparut la philosophie, ce que les hommes ou quelques hommes ressentait comme déficit théorique ou pratique devant et pouvant être comblé par la pensée ou par l'action ( besoin d'un certain savoir, besoin d'une certaine explication, besoin d'un savoir rationnellement constitué et tenant cette rationalité ou son efficacité dans la méthode qui lui donne naissance et dans les moyens de production), enquêter sur la manière de vivre des philosophes, leur relations avec leur monde physique, historique et actuel avec leurs semblables, des conditions de la vie intellectuelle sociale et politique avant la naissance de la philosophie et l'affirmation de la reconnaissance de la RAISON et d'une certaine manière de l'utiliser, de la faire travailler, de la suivre, comme déesse qui conduit tout homme vers quelque vérité partielle ou absolue du monde. Analyser les conséquences qui peuvent résulter et qui sont attendues ou non l'exercice de la philosophie, une éducation de la raison, la constitution d'un savoir profane à la portée de tous les hommes étant entendu qu'ils sont tous des êtres dotés de raison, constitution d'un monde sans Dieu, mais d'un Cosmos organisé et dirigé par une RAISON UNIVERSELLE dont une partie se trouverait dans toutes choses sous des formes et des quantité et des qualité et des performances différentes, le culte de l'individualisme, de la responsabilité de ses propos. Une manière de vivre conforme avec l'ordre du monde. La philosophie ou lorsque les dieux et les puissances surnaturelles de l'univers établies dans chaque chose et dans chaque être vivant selon les penseurs mythiques, par la Raison en tout homme et en toute chose.

1. Rechercher dans les conditions politiques, sociales, économiques, sociales et culturelles de sa formation et de sa  naissance
2. Dans le

mardi 27 octobre 2015

PROGRAMME PHILOSOPHIE TERMINALE AU SENEGAL





PREMIERE PARTIE: LA REFLEXION PHILOSOPHIQUE
I. Origines et spécificité de la réflexion philosophique
II; Les grandes interrogations philosophiques métaphysiques et anthropologiques
III. Enjeux et perspectives de la philosophie





DEUXIEME PARTIE: LA VIE SOCIALE
I. Individu et société
II; Nature et culture
III. Conscience et Inconscient
IV. La liberté
V. L'Etat



TROISIEME PARTIE: EPISTEMOLOGIE ou PHILOSOPHIE DES SCIENCES
I. Emergence de l'esprit et de la pensée scientifique
II. Des  différents types de sciences
III. Science et technique



QUATRIEME PARTIE: ESTHETIQUE ou REFLEXION PHILOSOPHIQUE SUR L'ART
I. La représentation artistique
II. Des formes et des fonctions de l'art


dimanche 11 octobre 2015

Existence et promesse


 Selon Le Larousse et certaines  indications venant des sources latines du mot exister veut dire être présent dans quelque chose, sortir de quelque chose en s'extériorisation d'un coup ou de manière progresse, se stabiliser, etc. Or être présent c'est occuper une place dans un contenant; ce qui veut dire que ce qui existe est soi un contenant soit un contenu de manière permanente ou selon les situations et les rapports dans un réseau. Cela veut dire que rien n'est seul ou isolé si ce n'est l'existant qui sa son contenant et son contenu intégralement approprié... Etre présent aussi c'est répondre à un appel et que donc être présent aussi c'est avoir le pouvoir d'émettre un appel. En conséquence, exister c'est être dans un champ relationnel et communiquer ou échanger, donner ou recevoir volontairement ou involontairement dans un champ d'interaction. En donnant et en recevant l'existant gagne et peut perdre et ce qui peut donner. Exister c'est donc pouvoir...




L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et... de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? Qu'Est-ce que notre école promet à ces humains dont elle poursuit la formation selon la nature ou contre la nature et contre sa volonté? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?
Existences, promesses et mondes dans la nature et dans l'histoire parmi les hommes

L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre monde  possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d'entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme. Aucun animal n se suicide parce qu'aucun animal n'a  rien promis.L'homme, dit Camus, décide de supprimer volontairement sa mort, en tant qu'individu ou en tant que peuple, quand il n'a plus à répondre à aucune promesse qu'il s'est fait ou qu'on lui a fait dans le monde de son intimité ou dans son monde extérieur. Il y a des hommes et des peuples et des ETATS empire, république ou avec quelque autre vêtement, à qui il est possible de tout promettre parce que ces hommes et ces peuples peuvent se promettre et tout promettre à autrui. Quelle école avons nous promis à nous mêmes ou nous a été promise par un éducateur qui poursuit notre bien ou le contraire? Quels humais attendons nous de voir sortir des enseignements et des portes de cette école? En quoi est-il nécessaire que ces humains actuels et futurs soient ainsi que le formulent et les structurent et les font fonctionne notre école? Pourquoi pas une autre école? Combien cette conservation ou ce changement radical ou profond devrait-il coûter et à qui et pourquoi il est souhaitable de payer le prix?


L'existence est un mouvement et la fin est toujours la poursuite et l'atteinte ou le rapprochement maximal possible d'une certaine promesse individuelle ou collective. Aucun animal ne sait rien promettre ni à lui-même ni à un autre ni à son monde ni à un autre possible avant ou après l'actuel dans lequel il est animal. Parce qu'à aucun animal il n'est rien promis. A l'animal tout a été donné et l'animal a tout donné de son moi et de son existence avant d(entrer dans son monde. Ce n'est pas le même statut existentiel pour l'homme.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre ce qui est promis au corps ou à l'esprit, à moi ou à autrui  la possibilité théorique de la réalité de cette promesse et de la possibilité historique de l'atteindre individuellement ou collectivement, de réduire l'écart qui sépare d'elle en s'en rapprochant de lus en plus et le maximum possible et souhaité pour s'en approprier et par la suite d'être heureux et libre ou au moins en paix intérieurement. le lus visible le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais



L'existence est un mouvement individuel et général de choses et d'êtres vivants ayant chacun un certain pouvoir et chaque chose et chaque être vivant encore non satisfait ou libre ou pleinement libre poursuit une certaine promesse lui ayant dit que toute chose et toute être est né dans la nature et parmi les hommes pour atteindre une certaine promesse qu'il s'et fait lui-même à lui-même ou qu'il a fait à un autre existant dans le même état ou dans un état différent

La différence fondamentale entre l'homme et l'animal dans le même monde mais dans des régions différentes au sein de cet espace de rencontre, c'est qu'aucun animal ne sait promettre, ni à lui-même ni à un autre ni à son monde parce qu'à aucun animal, il n'est rien promis, tout lui a été donné par l'esprit de Dieu et par les composantes naturelles des choses et des êtres et des évènements, des activités ou des actions théoriques ou pratiques que l'esprit de Dieu peut promettre d'entreprendre ou de faire entreprendre pour répondre aux appels positifs et négatifs des forces des pouvoirs et de leurs volonté et de leur objet de leurs passion sensibles ou intellectives. Le monde comme lieu de promesses et que la promesse suppose un écart, une distance, une séparation, une division d'une totalité et des graduations avec unité de graduation.
1. Existence et promesse
2. Promesse et pouvoir donc existence et pouvoir
3. Promesse et propriété et appropriation On ne peut pas se promettre ou promettre à autrui ce qui n'est pas de notre avoir ou de notre pouvoir à la créer comme avoir et en s'en approprier et en user comme bon nous semblé sans honte ni pudeur ou crainte aucune parce que ne souffrant d'aucune appropriation; On promet ce que l'on a déjà ou ce qu'on est  sûr de pouvoir atteindre.Le problème c'est quand Est-ce qu'on peut dire qu'une chose ou un être est la propriété d'un autre OU encore quand Est-ce qu'une chose peut être stabilisée et rapport entre avoir et devenir
4. Promesse et devenir
5. Promesse et insatisfaction
6. Devenir et extériorisation et extension et compressin mais dans le monde du devenir toujours insatble et plusieurs dans ses contenants et contenus il y a au moins une composante qui reste égale à elle-même et de l'état duquel cherche à se rapproprocher chaque chose séparés d'elle-même, c'est Dieu toujours Un et dans toute chose mais dans des états ou forme d'unification et d'organisation différente du Un particulier T parout ce qui est séparé de quelque chose qui lui est nécessaire est séparé d'une partie de lui-même et toute chose séparée d'elle-même de ce qu'elle doit être c'est-à-dire Un, tend à devenir ou à redevenir Un et s'appropcher de plus en plus de lui-même et de Dieu et de la vérité et des lois et des formes des toutes choses mesurables dans la Grande SCIENCE de la transparence nécessaire au berger et à certaines choses et êtres conduits un berger ou se conduisant ensemble dans leur interaction et les êtres artificiel qu'il se crée come Etat gouvernem.
7. De Dieu L'ETRE UN et impérissable et s'organisant et organisant la matière comme il veut en lui donner toutes apparences et toutes formes et tous pouvoirs et toutes activités est en toute chose et organise toute chose de manière différente ou permet à toute chose avec laquelle il entre en interaction de s'autoorganiser en harmonie ou en dysharmonie avec son architecture initial ayant le pouvoir d'extension et de compression.
9. Du monde et des êtres et des choses et de leur mouvement par leur pouvoir individuels et par le pouvoir visible ou invisible que forment leurs pouvoirs dans leur interaction volontaire ou involontaire
24. De la liberté de la satisfaction du besoin
23; De la gouvernance surveillance métier du berger
7. Devenir et poursuite d'une fin, d'une limite et donc quantité ou grandeur de temps d'espace de qualité de l'existence à parcourir Tout ce qui est en samouvement conscient ou inconsciemment poursuit un certain but, une fin dans laquelle se trouve le meilleur ou le pire de son état existentiel
9. Ce qui est recherché est toujours en dehors de soi ou nécessite une interaction avec un extérieur ou un environnement et des situation de mouvement et d'activité signifiant transformation et dont existence et coopération et conflit et réseau Toute succession de faits semblables ou différents n'est pas un changement ou un signe de devenir ou un fait de devenir mais le devenir est la succession d'un ensemble de faits qui sortent les uns des autres de manière nécessaire contrôlée de lintérieur de sa source ou de l'extérieur et que dans le mouvement des êtres et des choses dans l'espace et le temps et les lieux et dans les yeux et les oreilles des choses, il y a ce qui reste constant, par exemple, un voyageur peut changer de chemin ou de piste sur un chemin général segmenté, brisé, divisé qui reste le même décomposé, changer de direction par rapport à un observateur extérieur sans changer de formes extérieur supposer
11. Ce qui fait problème à preuve vue ou audition ou toucher ou après analyse approfondie, c'est ce qui fait problème, ce qui écarte de la norme ou de l'habitude
10; Des pouvoirs dans leurs champs d'interaction des pouvoirs particuliers et publics, de la nature des pouvoir, pouvoir positif et pouvoir négatif et de la recherché de l'équilibre de l'être le meilleur par l'organisation volontaire ou naturelle par force invisible du monde et de la modification des formes et ordres selon les évènement et autres facteurs

Toute promesse est toujours tenu et réalisé ou non par un certain pouvoir mais pas tous les êtres et toutes les choses de l'existence sont constitués chacun avec une certaine part du pouvoir de l'univers qui leur est nécessaire mais pas suffisante, tous les êtres de l'existence ne peuvent pas faire de promesse. La promesse est un contrat qu'un pouvoir conscient de ses forces et de ses droits et devoirs et de ses limites, conscient des pouvoirs des choses et des êtres extensibles ou fixes et de son monde, établit avec lui-même, avec autrui ou avec le monde L'animal ne peut rien promettre parce que l'animal n'a aucun pouvoir sui lui ou sur le monde c'est pourquoi il est la réalisation absolue d'une promesse faite à l'existence par un certain pouvoir.

Tous les hommes et tous leurs peuples font des promesses parce que l'existence est un mouvement individuel et universel né d'une certaine promesse qu'un être vivant ayant un certain pouvoir s'est fait à lui-même ou à un autre et sa fin consiste à rendre visibles le plus clairement possible cette promesse et à l'atteindre ou à faire en sorte qu'elle ne soit jamais
exister c'est jaillir d'un monde intérieur vers un monde extérieur pour répondre à l'appel d'une promesse qui vient de sa propre intimité d'une autre intimité au sein de son monde. Tant qu'un chose ou un être vivant dans la nature ou parmi les hommes retrouve un individu ou un peuple retrouve toute la promesse qu'il s'est faite lui-même ou qui lui est faite par un autre berger ou partenaire dans le monde, ou au moins une partie de la promesse qui lui est faite ou des fondements sûr de l'existence de cette promesse et des signes qui lui font croire qu'il peut atteindre encore ce pour quoi ll es dans son monde, il peut continuer à vivre à lutter et à vaincre même dans les circonstances et les situations les plus difficiles et les moins faciles pour lui.  L'homme se suicide selon Camus, lorsque son monde ne lui promet plus rien et lorsque lui-même ne peut plus rie se promettre ou promettre à ce monde dans lequel il décide de supprimer volontairement sa vie.

Les différence entre les hommes, les peuples et leurs dirigeants et fonctionnaires que l'on appelle de divers noms communs tels que député, ministre,maire, président, ne se trouvent pas seulement dans les lois, principes, règlements et méthodes ou stratégies qui sont orientent leurs activités et leurs actions particulières.
Tous les hommes font des promesses parce que la vie est essentiellement une présence dans
nindividuellement et colectiveent chacun dans sa solitude et à lui-même et aux autres dans leurs diverses assemblées assemblées avec