mardi 24 novembre 2015

Parlons d'abord de l'existence:Si tout ce qui existe sort de quelque chose donc Dieu

PREMIERE PARTIE: DE L'EXISTENCE 
I. DES ORIGINES CULTURELLES ET LINGUISTIQUES DU MOTS DANS DIVERSES LANGUES CHEZ LES LATINS LES FRANçAIS LES WOLOFS ET LES SERERES DU SENEGAL
I.1. EXISTER CHEZ LES LATINS C'EST SORTIR DE QUELQUE CHOSE, S'EXTERIORISER SE DRESSER APPARAITRE ET DES PRESUPPOSES ET CONDITIONS NECESSAIRES
I.2. POUR LAROUSSE EXISTER C'EST ETRE PRESENT DANS QUELQUE CHOSE NOTAMMENT DANS UNE ETENDUE SPATIALE ET TEMPORELLE
II. DES CONDITIONS NECESSAIRES POUR FONDER L'EXISTENCE EN DROIT CHEZ LES LATINS ET DANS L'ESPRIT DE LA LANGUE FRANçAISE
II.1. Pour qu'il puisse y avoir présence et sortie de quelque chose il faut nécessairement CONTENANT constitué par ce qui sort par lui-même et par son propre pouvoir nécessaire à cette tâche naturelle ou acquise
II.2. Pour  qui sort de quelque chose sorte de quelque chose, de lui-même ou de quelque chose de différent, il faut nécessairement un contenu constuté et absolument achevé ou poursuivant sa constitution dans le monde de son devenir vers lequel il est expulsé par la contrainte, par la nature ou vers lequel il s'expulse et s'extériorise lui-même
II. Quand deux chose sont l'une sur l'autre ou l'une dans l'autre naturellement ou artificiellement si elles ne sont pas les mêmes ou si elles sont de même nature mais séparable et différenciable en terme de contenant et de contenu, il faut nécessairement ce qui les relie, un cordon ombilical naturel ou un connecteur logique matérielle ou immatériel
III. D'AUTRES CONDITIONS NECESSAIRES
1; tout ce qui existe est limité puisque sortie de quelque chose c'est sortir d'une intimité
2. ce qui existe est donc subjectivement mesurable par les mots ou par des chiffre ou par des figures parce que délimiter, mettre des bornes suppose des quantités fixes ou extensibles et compressible
III. CE QUE CONT LES CHOSES DANS LEUR NATURE ET DANS LEUR RESEAU RELTIONNEL
Les choses et les êtres qui constituent le grand ensemble de l'existence que l'on appelle monde ou univers sont soient des CONTENANT DES CONNECTEURS OU DES CONTENUS OU TANTOT CONTENANT ET CONTENU OU CONNECTEUR OU PLUSIEURS EN MEME TEMPS

IV. QUE CETTE VISION DE LA RELAITE EST CONFORME AVEC LES FAITS CONCRETS DE L'EXISTENCE
IV. DE L'EXISTENCE CHEZ LES WOLOFS ET LES SERERS
1; Ce qui existe c'est qui existe c'est ce qui a un certain avoir, une certaine propriété qui fait son capital
2; Exister chez les Sérère comme chez les Wolofs du Sénégal c'est "avoir"
3. Il s'agit donc de rechercher ce qui peut faire l'objet d'une appropriation d'une propriété, d'un avoir naturel ou acquis pour un existant c'est-dire pour contenir ou pour être contenu ou pour lier un contenant et un contenu
4; Pour le wolof comme pour le sérère, exister c'est être avec un certain pouvoir qui permet de contenir ou de se contenir ou de relier parce que contenir c'est absorber, stabiliser, délimité et servir de cordon c'est attacher une chose à une autre par une certaine force
5. Il est nécessaire que l'existence soit toujours accompagné de forces parce qu'il ne peut pas y avoir de contenu ou de contenant constitué sans une action et il ne peut pas y avoir d'action sans la force d'un certaine pouvoir

II. Concevoir l'existence avec les différentes composantes mises en évidence par analyse du mot Ce que veut dire le mot exister dans différentes cultures et langues latins, français, wolof, sérère

Tout ce qui existe se contient et sort d'un certain pouvoir et est constitué avec un certain pouvoir qui est son capital existentiel initial fixe ou modifiable, compressible et extensible ou se forme et apparaît dans un champ de pouvoirs en interaction dans leurs rencontre et formant des réseaux relationnels et des mondes au sein de la nature ou dans la culture. Exister c'est avoir un certain pouvoir, poursuivre un certain pouvoir, appartenir à un certain pouvoir

III.Du premier existant ou du premier pouvoir qui est son contenu et son contenu parfaitement identique et immobile ou invariable et autour duquel tournent les choses et les pouvoirs extensibles et compressibles dans leurs actions et dans leurs mouvements volontaires et involontaires et qui sont une partie du capital existentiel universel mobile et extensible
IV. Chaque chose mobile est séparé de quelque chose et que donc chaque pouvoir mobile extensible ou compressible est séparé d'un certain pouvoir individuel ou collectif ou environnemental qui lui est nécessaire et dont il est séparé c'est pourquoi les choses en devenir sont mobile et chacune tend vers une fin qui est le point l'état de son pouvoir optimal absolu quand il est parfaitement réalisé dans l'esprit ou dans l'histoire ou le plus proche possible de cet état
V. Que la gouvernance est la surveillance du mouvement des pouvoirs individuels et des pouvoirs collectifs des choses et des êtres dans leurs monde constitué de pouvoirs naturels et artificiellement créés et disposés dans l'espace extérieur et dans les choses et qu'il s'agit avant tout pour tout berger de distinguer les forces favorables et les forces défavorables et c'est pourquoi le métier de berger demande une certaine science de la nature et des choses et des êtres et une certaine sagesses et que l'état des choses et des êtres du monde au sein de la nature et dans l'histoire dépend de leur surveillance par ses bergers dans leur intimité et en dehors de leur intimité dans leur espace
VI. Plus un être ou une chose est séparé ou attaché à  quelque chose de nécessaire dans sa constitution ou dans son environnement ou dans son sa manière de se comporter, plus il est en conflit avec lui-même et avec un certain environnement et ses conflits sont les indicateurs qui contiennent quelque chose de vécu dans sa gouvernance personnelle ou collective
VII. CE QUI DONNE AUX CHOSES ET AUX ETRES LEURS SENS ET LEURS VALEURS
Dans la cause matérielle, dans la cause formelle, dans la cause efficiente dans la cause finale, et des composantes de la détermination de la valeur dans le temps et dans l'espace et leur changement et leur conservation dans les interaction des forces, le sens de l'existence d'une chose dépend de la nature de son pouvoir et de ce que ce pouvoir peut permettre de faire en terme d'influence positive ou négative dans une situation, par exemple créer un problème, aggraver ou contribuer à sa solution, de la valeur relative des choses dans la valeur des choses et de leurs effets dans leur goût, en philosophie et en science et en économie
VI. Que la réalité est à la fois une donnée et toujours reconstruite à partir de premiers éléments d'expérience ou métaphysique déjà disposés, organisés, reliés, sensibilité, chargé de pouvoir par la nature ou par l'expérience, une donnée absolue relativement peut-être variable dans la nature et toujours reconstruite par l'homme et donc dépend du langage et des signes numérique, alphabétique, géométriques ou logiques ou sonores ou visuels ou tactiles qui l'expriment exister c'est répondre à un appel ou exprimer un appel et donc communication
VI. Le pouvoir dont une chose est séparé se trouve toujours dans quelque chose d'autre qui le tient d'un certain droit ou par la force conventionnelle ou naturelle et c'est pourquoi les choses qui sont séparés d'eux-mêmes sont en mouvement, se rencontrent se mêlent, échangent, entrent en contact de diverses manières et perdent ou gagne et se rapprochent de leur meilleur état
V. Le métier de berger est nécessaire parce qu'une chose ou un être séparé de lui-même, de quelque chose d'autre qui lui est nécessaire parce que contenant un certain pouvoir négatif ou positif, est un être à la fois clair et obscur et un être qui ne peut pas voir ou entendre clairement puisqu'il est séparé d'un pouvoir qui peut affecter cette faculté et qu'il y a des pouvoir positif et négatif et des rencontres et que l'égarement est possible et donc une nécessité de connaître le monde comme un pâturage, un marché, une foire
VI. De ce qui de l'existence d'une chose divisé naturellement ou artificiellement est à l'intérieur caché et de ce qui est accessible de l'extérieur au sens ou immédiatement au sens commun au bon sens de leur relation et de leur rapport et dans quelle mesure ce qui est à l'extérieur peut-il conduire légitimement et surement par déduction ou reconstruction ou développement logique guidé par un principe ou règles,
VI. Que le repos ou l'équilibre est le signe indicateur d'un certain état et d'un degré de satisfaction que toute chose ou le moteur unique à l'origine des mouvements particuliers des choses et des êtres dans le mouvement général du monde; l'équilibre contient en même temps la santé et la liberté et la paix et le bonheur mais l'équilibre ce n'est pas le repos ou l'inaction mais la conservation d'un certain état de proportion entre les parties d'un pouvoirs général divisé en mouvement c'est-à-dire ayant un pont ou des pont et des chemin de transposition, de transfert de pouvoirs ou de quantité de pouvoir entre les parties dans lesquels se distribue le pouvoir général politique, économique, intellectuel ou d'une autre nature; La politique est à la fois un art et une science, une science au service du mieux être ou du mal être des choses et des êtres mais tous les moyens ne peuvent pas servir le bonheur de tous
VI. L'homme est l'être vivant le plus divisé, le plus séparé et le plus éloigné de lui-même et le plus apte à retrouver ce dont il est séparé et des théories qui parlent de la séparation de l'homme avec lui-même et que donc l'homme est à la recherche de lui-même ou de cette autre partie de lui-même dans les autres hommes ou dans quelque autre contenant ou libre de tout contenant parce qu'étant le soi de l'être accompli
VV. QUE TOUT CE QUI EXISTE ET QUI EST EN MESURE CHERCHE QUELQUE CHOSE DONT IL EST SEPARE ET QUI EST NECESSAIRE OU UTILE A SA SATISFACTION ET LA FIN DE TOUTE CHOSE EN MOUVEMENT C'EST SA SATISFACTION OU LE BONHEUR OU LA LIBERTE UNE CHOSE EST EN LIBERTE QUAND ELLE EST EN POSSESSION DE TOUT LE POUVOIR GENRAL ET DES POUVOIR PARTICULIERS QUI LUI SONT NECESSAIRE DANS UNE SITUATION OU DANS TOUTE SITUATION THEORIQUE OU PRATIQUE
 comme tout ce qui existe est constitué de pouvoirs ou dans un champ de pouvoir qui déterminent son mouvement sa mobilité ou son immobilisme externe ou externe on peut se demander quel est l'ensembles des forces, des pouvoirs et la nature des pouvoirs individuels ou collectifs qui conditionnaient le mouvement de l'homme et celui de la société et celui du monde et qu'elle est la fin de ce mouvement individuel et général c'est la recherche du meilleur équilibre définitif ou provisoire et que donc l'équilibre des pouvoirs dans les intimités des choses et des êtres ou dans leur environnement et entre les individus et l'environnement et leur harmonie interne ou externe en tant que totalité individuels faits d'un ensemble de pouvoirs ou totalité d'individus formant corps social est le principe, l'indicateur la boussole universelle de toutes les formes particulières de la bonne gouvernance et cet harmonie est toujours le résultats d'une certaines mise en relations et une certaine disposition des pouvoirs particuliers qui composent les individus naturels et artificiels que l'on appelle ver de terre, roseau sensible ou pensant ou société et cette disposition dépend de la connaissance des pouvoirs qui constituent initialement les choses et la connaissance de leur devenir inscrit dans ces pouvoir et que la science doit gouverner le monde ou au moins accompagner ceux qui gouvernent le monde quelque que soient les intentions de ces dernier et le rôle de la science est de mettre en évidence ce qui est possible d'extraire ,naturellement ou de produire avec les pouvoirs actuels dans les choses et dans les êtres le savant n'a qu'un devoir de vérité au sens de correspondance entre la théorie et la réalité, entre correspondance des faits qu'il produit avec les attentes, les désirs, les intentions du politique

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