vendredi 13 novembre 2015

PHILOSOPHIE: sujets de dissertation traités par Architectedubien philosolidaire



                            THEME: LA PHILOSOPHIE


 

SUJET: Le philosophe ne s'intéresse pas au monde sensible.

SUJET: Philosopher c'est chercher autre chose que ce qui est déjà présenté ici et maintenant.

SUJET I: La nature a donné un corps à tous les hommes mais pas la faculté de penser

SUJET I: Les différences physiques entre les hommes sont toujours plus importantes que celles qui naissent de la raison

SUJET I: Ce que veut la philosophie c'est supprimer la surprise

SUJET I: La philosophie est assurée de vivre longtemps puisqu'elle ne meurt que là où tout est normal et clair.

SUJET I: La philosophie est l'amour de l'ordre dans la pensée et dans l'action

SUJET: Philosophie c'est apprendre à voir clair dans les choses et dans sa propre intimité

SUJET: A l'origine des conflits dans la vie humaine personnelle et de la vie sociale il y a toujours la raison

SUJET: Ce que je pense de l'intimité des choses ne se trouve pas toujours en elle comme une propriété naturelle

SUJET: Le raison nous trompe plus que les sens parce que l'animal ne fait pas d'erreur sur lui-même ou sur son monde

SUJET: Nous accédons aux ombres des choses avant d'arriver aux choses elles-mêmes

SUJET: Les obstacles qui nous empêchent de voir clair se trouvent plus dans notre intimité que dans les choses ou dans leur environnement

SUJET: La raison va plus loin dans l'intimité des choses mais elle ne peut pas aller loin et sûrement en ignorant totalement les choses et l'expérience

SUJET: Tout ce qui existe est dans quelque chose d'autre qui le contient

SUJET: Le politicien apprend à bien parler comme le philosophe

SUJET: Les choses sont plus claires et plus proches d'elles-mêmes et de la raison dans la nuit que le jour

SUJET: La philosophie ne vient pas avec la vérité mais seulement pour fonder la nécessité de son existence

SUJET: Les gouvernements qui suivent ce que veulent les hommes sont assurés de vivre plus longtemps que ceux qui veulent conduire les hommes sur les chemins de la raison.

SUJET: La philosophie doit aussi distinguer ce que la raison peut atteindre et ce dont elle ne peut pas s'approprier

SUJET: Le philosophe aperçoit la raison mais elle n'atteint jamais son horizon sur terre

SUJET: Pour comprendre la philosophie il chercher à comprendre les origines et les fondements du doute dans les choses ou en nous mêmes.

SUJET: Peut-on douter de tout ?

Nous retrouvons ce sujet et l'introduction ci-dessous proposée dans http://www.philocours.com/

PENSER L'EXISTENCE EFFECTIVE OU POSSIBLE DE L'OBJET SON ETENDUE SES FORMES SON ORIGINE ET SES FONDEMENTS
 
On peut considérer le doute comme inséparable, et même constitutif, de toute véritable entreprise philosophique. De Socrate à Descartes, en passant par les sceptiques, en effet, on retrouve ce doute.
Chez Socrate, le doute est synonyme de critique et de remise en cause de tout ce qui présente comme savoir (définitif). Chez les sceptiques, le doute est une attitude de suspens : on dit que, étant donné la nature (précaire) de l'homme, on ne peut rien affirmer avec certitude, mais qu'on doit au contraire douter de tout. Chez Descartes, on retrouve le même doute radical que chez les sceptiques, mais, avec un mélange du doute socratique : le doute radical sert à ne pas être dupe des opinions ou des faux savoirs; c'est une méthode qui sert à nous purger de nos illusions, et à atteindre la vérité, sans se précipiter.

PENSER LA VALEUR POSITIVE OU NEGATIVE DE L'OBJET
 
Mais si le doute nous est présenté comme attitude philosophique par excellence, est-il quelque chose de si positif? La question même de savoir si on peut douter de tout semble entraîner un doute quant à la valeur même du doute.

PENSER A CE QUI EST POSE AVANT LE SUJET ET QUI LUI SERT DE SUPPORT OU DE SOURCE THEORIQUE OU HISTORIQUE

La question semble en effet présupposer qu'il est peut-être exagéré de douter de tout : peut-être une vie humaine n'est-elle pas possible si on se met réellement, dans la vie quotidienne, à douter de tout, car ce serait rester en suspens (cf. étymologie du mot) et donc à la limite se laisser mourir.
En tout cas, se demander si "on peut" douter de tout, c'est sous-entendre que douter de tout est quelque chose qui ne va pas de soi, qui pose problème : que, si ce n'est pas impossible, ce sera au moins difficile.
Il faut donc se demander s'il y a des limites au doute, et cela, au sens à la fois théorique, moral, et politique.


 CONSEQUENCES DES PRESUPPOSES OU REFORMULATION DE LA QUESTION INITIALE REFORMULATION DU PROBLEME EN FAISANT APPARÏTRE CE QU'IL NE DIT PAS DIRECTEMENT ET LES LIENS DE L'OBJET OU DU THEME AVEC D'AUTRES
 
Ce qui reviendra à se demander jusqu'où va la liberté de penser (d'abord au sens théorique, ie, au sens où elle n'entraîne aucune conséquence pratique sur la vie des gens), et aussi, au sens pratique, ie, au sens où cette fois notre doute a des conséquences sur notre conduite et peut-être la société toute entière.
Bref le doute : attitude positive, ou négative? Est-il seulement une attitude théorique, n'ayant de conséquences que pour la cohérence de la pensée avec elle-même, ou bien est-ce une attitude qui a des conséquences pratiques? (selon la réponse, on répond à première question différemment)

 
Bref : le problème posé par le sujet est double. D'abord, il pose le problème de savoir s'il existe des connaissances indubitables. Ensuite, il pose le problème de la liberté, à la fois intellectuelle et politique, de l'homme.
SUJET: Le plus grand nombre des opinions donne-t-il toujours la vérité ou la meilleure mesure?
SUJET: Pourquoi l'homme devrait-il nécessairement douter?
SUJET: Peut-on toujours déterminer ce qui évidemment vrai ou faux par les faits ou par la raison?
 

 

                                Qu'en pensez-vous?

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