mardi 19 septembre 2017

Hegel: "De la mort sort la vie" et la mort comme la naissance sortent du multiple et du conflit des identités

1.  


     Si donc je ne suivais que ma raison humaine dans la raison universelle, en essayant d’atteindre ce qui probable ou même hautement très probable, en partant des mots et des conceptions de l’existence, du monde, du devenir et de l’histoire, notamment du monisme matérialiste ou spiritualiste, d’Aristote et de l’eudémonisme, de Hegel, de Lavoisier, de Darwin, de Francis Fukuyama et peut-être encore d’autres moins connus de moi, mais aussi de manifestations universellement observables et renseignant objectivement d’abord en elles-mêmes avant toutes interprétation raisonnable ou exagérée, 



2.       Je dirais qu’il existe quelque chose et pas rien, parce que la force est la première composante nécessaire et universelle de toute chose, et l’essence de toute force est d’agir, de créer, de se créer, de d’auto créer, de reproduire, d’imiter, et que l’universalité de la surveillance des mouvements et des activités internes et externes des forces du Devenir universel dans la nature et dans les sociétés humaines, par les hommes et par leurs diverses institutions, activités  et objets signifiants, pourrait être l'origine de l’idée selon laquelle l’existence a un sens, une signification, une valeur, un chemin, une démarche, une logique, une orientation, une unité, une fin visible ou invisible dans le monde physique ou dans le monde métaphysique, desquels on peut détourner toute chose et desquels tout existant libre peut se détourner, mais vers lesquels par nécessité inscrite dans ses origines, il revient toujours, et que le sens du devenir c’est le passage du multiple dans tout existant particulier et dans toute société, vers le non multiple, et que sa fin est la naissance de l’un dans le multiple, la naissance de l’être en tant qu’être dépouillé de toutes ses identités intermédiaires qui rendaient sa reconnaissance toujours provisoire, attendant l’émergence d’une autre identité émergent de sa propre intimité et par laquelle, il retrouve sa plus haute satisfaction, principe à l’origine de sa conception et de tous ses mouvements Pour dire, le sens et la fin du Devenir universel, n’est-ce pas la marche des mortels vers l’immortel ?

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